C’est la déception dans les rangs des cheminots et travailleurs de la société de transports ferroviaire dont 129 sur 271 se sont vu notifier leur licenciement, par la direction générale de Transrail. Ces derniers de protester contre le non respect de la réglementation du Code du travail, par la voix de Oussyenou Badiane, chargé des revendications de Sutrail.
«D’après la direction du travail, ces agents ont bénéficié de 2 contrats à durée déterminée (Cdd). Et que dans la réglementation, le code du travail interdit un troisième contrat. Il faut dire que par rapport à la forme, lors du renouvellement du 2e contrat, nous pensions que ces travailleurs ont des Cdi, comme le stipule l’article L44 qui dit qu’un contrat non écrit est un Cdi. Nous pensons donc que c’est une violation par rapport aux dispositions réglementaires», explique le syndicaliste dans les colonnes de l’Observateur, précisant qu’ «il s’agit de 271 agents frappés par la mesure, mais c’est un premier lot de 129 agents touchés».
Le Sutrail de dénoncer la décision de la direction générale de Transrail de ne discuter qu’avec des syndicats minoritaires, selon eux. Une direction qu’ils accusent de «poser des actes de sabotage en licenciant ces 129 agents qui, malgré la vétusté de la voie ferroviaire et des infrastructures, ont consenti beaucoup d’efforts et de sacrifices pour que le train puisse continuer à siffler».
«D’après la direction du travail, ces agents ont bénéficié de 2 contrats à durée déterminée (Cdd). Et que dans la réglementation, le code du travail interdit un troisième contrat. Il faut dire que par rapport à la forme, lors du renouvellement du 2e contrat, nous pensions que ces travailleurs ont des Cdi, comme le stipule l’article L44 qui dit qu’un contrat non écrit est un Cdi. Nous pensons donc que c’est une violation par rapport aux dispositions réglementaires», explique le syndicaliste dans les colonnes de l’Observateur, précisant qu’ «il s’agit de 271 agents frappés par la mesure, mais c’est un premier lot de 129 agents touchés».
Le Sutrail de dénoncer la décision de la direction générale de Transrail de ne discuter qu’avec des syndicats minoritaires, selon eux. Une direction qu’ils accusent de «poser des actes de sabotage en licenciant ces 129 agents qui, malgré la vétusté de la voie ferroviaire et des infrastructures, ont consenti beaucoup d’efforts et de sacrifices pour que le train puisse continuer à siffler».
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