« A l’instar de toutes les institutions d’enseignement supérieur dans le monde, et surtout en Afrique, l’Université Cheikh Anta Diop est d’abord confrontée à une crise du financement. Malgré les énormes efforts consentis par les autorités publiques, les ressources et les moyens mis à sa disposition restent relativement insuffisants, eu égard à l’ampleur des besoins. Surtout ceux liés à la modernisation : forte introduction des Tics, équipements de recherche de plus en plus sophistiqués et couteux... », explique le Recteur Saliou Ndiaye.
L’université ne peut pas accueillir à outrance des bacheliers sans penser à la qualité de la formation et aux conditions dans lesquelles cette formation est dispensée. Selon le professeur Saliou Ndiaye « l’Ucad subit des contrecoups des mutations démographiques qui traversent nos sociétés, en général, caractérisées par une population jeune, donc en âge de scolarisation. Ce qui est à l’ origine de la forte demande sociale en matière d’enseignement supérieur qui pose un problème d’accès ».
Poursuivant ses explications, le recteur de dire 80 000 étudiants anciens et nouveaux sont attendus cette année à l’Ucad pour une capacité d’accueil maximale de 10 000 places pédagogiques. Ce qui constitue un record absolu quand on sait que la moyenne des effectifs des universités françaises gravite autour de 20 000 étudiants.
L’université ne peut pas accueillir à outrance des bacheliers sans penser à la qualité de la formation et aux conditions dans lesquelles cette formation est dispensée. Selon le professeur Saliou Ndiaye « l’Ucad subit des contrecoups des mutations démographiques qui traversent nos sociétés, en général, caractérisées par une population jeune, donc en âge de scolarisation. Ce qui est à l’ origine de la forte demande sociale en matière d’enseignement supérieur qui pose un problème d’accès ».
Poursuivant ses explications, le recteur de dire 80 000 étudiants anciens et nouveaux sont attendus cette année à l’Ucad pour une capacité d’accueil maximale de 10 000 places pédagogiques. Ce qui constitue un record absolu quand on sait que la moyenne des effectifs des universités françaises gravite autour de 20 000 étudiants.