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Abandon d’enfant : mariée et engrossée par son amant, elle choisit d'abandonner son nouveau-né à la pouponnière

Même si son acte n’est pas excusable, le mérite de D. K, c’est de n’avoir pas commis un infanticide, comme ses nombreuses femmes qui devant les chambrent criminelles. Mariée à un homme qui est resté au Gabon depuis 7 ans maintenant, elle s’est faite engrossée par son amant. Et après son accouchement, elle a préféré abandonné son nouveau-né à la pouponnière de la Medina.


Rédigé par leral.net le Samedi 14 Janvier 2017 à 09:58 | | 0 commentaire(s)|

Abandon d’enfant : mariée et engrossée par son amant, elle choisit d'abandonner son nouveau-né à la pouponnière
Née en 1992 et élevé dans un lycée de la place, D. k. a pris ce 02 janvier, une décision qui va changer sa vie et risque de la poursuivre jusque dans son ménage. Mariée à un émigré qui est au Gabon et qu’elle n’a pas depuis 7 ans maintenant, le jeune dame a cédé à la tentation. C’est ainsi qu’elle eut une liaison secrète avec un homme, un certain M. T. qui habite au Fouta, sans autre précision. De cette union adultérine, elle s’est retrouvée avec une grossesse.

Une grossesse qu’elle a soigneusement dissimulée à son mari, qu’elle n’entend qu’au téléphone, à sa famille, mais également à sa belle-famille ; ce qui fait qu'arrivée à terme, elle quitta son domicile pour se rendre chez un de ses oncles qui vit à Rufisque soi-disant pour le visiter. Sur place, ce dernier qui ne se doutait de rien, lui a offert l’hospitalité.

C’est le 2 janvier 2017, sentant les premières douleurs de l’accouchement, qu'elle prit congé de son oncle, lequel supposait en toute logique qu’elle rentrait chez elle. Mais ce n'était que ruse puisqu'elle se dirigea immédiatement vers une structure sanitaire de Rufisque. Sur place, elle accoucha sans problème d’un enfant de sexe masculin bien portant vers 17h.

Libérée le lendemain, l'accouchement s'étant déroulé sans problème, elle rentre à Dakar avec son bébé mais pas chez elle comme on pouvait le croire. Ayant bien réfléchi durant toute la durée de sa grossesse de l’avenir de son enfant, elle dit n’avoir pas voulu attenter à sa vie. Et la meilleure idée qu’elle a trouvée, c’était de déposer son nouveau-né dans une pouponnière.

C'est donc dans la matinée du 03 janvier qu'elle s’est présentée devant les sœurs franciscaines de la Médina pour leur « offrir » l’enfant ; et comme de coutume, ces dernières lui ont exposé la procédure à suivre. Consentante, elle a été accompagnée au commissariat de la Médina par l'infirmière de la pouponnière qui y fait une déclaration suivie de sa propre déposition dans laquelle elle expose dans les moindres détail, les raisons qui l’ont poussée à agir de la sorte. Après quoi, comme la loi le stipule, le dossier été transmis au procureur de la République, pour appréciation.


Source Vox Populi