-Il semble que vous êtes de plus en plus impliqué dans les activités de l’APR à Matam.
-Ma ville natale de Ourossogui, dans la région de Matam, se singularise, depuis 2008, par une situation défavorable au Président Macky Sall, du fait d’options erronées et calculs qui ont fragilisé l’APR dans cette citée. Aux dernières élections locales, l’APR désunie a perdu, car éclatée entre différentes listes. En 2009, les mêmes options avaient conduit à une débâcle. Conscientes de cette situation, les femmes de la ville se sont regroupées et sont venues me voir, il y a de cela deux mois, pour me demander de prendre le leadership. J’ai accepté avec d'autant plus d'enthousiasme que des hommes politiques locaux aussi populaires que chevronnés ont approuvé leur démarche.
2 fois 3 M...comme Macky
Je veux citer le député Seydou Diallo, l’ancien maire Samba Ciré Dia ou encore le très populaire Djiby Nalla Sy, mais aussi le maire de la vaste commune rurale de Ogo (plusieurs dizaines de villages), Amadou Kane, nos amis de Dondou, Boinadji, Doumga, et partout dans la contrée traditionnelle du Nguénar. Dans une dynamique unitaire et de rassemblement, nous avons créée Feddé Dental Guénar, une structure qui a commencé le travail de sensibilisation des populations aux inscriptions sur les listes électorales. Le travail sur le terrain commence avec les inscriptions.
Il ne servira à rien de convaincre les gens au moment du scrutin, s’ils n’ont pas été mis auparavant dans des conditions de pouvoir voter, à travers les inscriptions sur les listes électorales. La période des inscriptions est la phase de constitution du stock des électeurs. Nous avons lancé le concept 2 fois 3 M : Macky Mine Mbii/ Macky Molene Meune en perspective de l’élection présidentielle de 2017 pour laquelle nous allons donner le maximum de suffrages à notre candidat dans toutes ces localités. Ce concept sera d’ailleurs vulgarisé dans d’autres localités du pays.
Tant qu’il s’agissait de compétitions locales à Matam, je pouvais ne pas me mêler. Mais dès lors qu’il s’agit de la réélection du Président Sall, mes amis et moi entendons mettre toutes les chances de son côté et éviter que les manœuvres qui avaient eu cours lors des précédentes joutes électorales lui fassent à nouveau perdre des suffrages. Nous avons entamé un travail qui va se poursuivre jusqu’à sa victoire en 2017.
-Ma ville natale de Ourossogui, dans la région de Matam, se singularise, depuis 2008, par une situation défavorable au Président Macky Sall, du fait d’options erronées et calculs qui ont fragilisé l’APR dans cette citée. Aux dernières élections locales, l’APR désunie a perdu, car éclatée entre différentes listes. En 2009, les mêmes options avaient conduit à une débâcle. Conscientes de cette situation, les femmes de la ville se sont regroupées et sont venues me voir, il y a de cela deux mois, pour me demander de prendre le leadership. J’ai accepté avec d'autant plus d'enthousiasme que des hommes politiques locaux aussi populaires que chevronnés ont approuvé leur démarche.
2 fois 3 M...comme Macky
Je veux citer le député Seydou Diallo, l’ancien maire Samba Ciré Dia ou encore le très populaire Djiby Nalla Sy, mais aussi le maire de la vaste commune rurale de Ogo (plusieurs dizaines de villages), Amadou Kane, nos amis de Dondou, Boinadji, Doumga, et partout dans la contrée traditionnelle du Nguénar. Dans une dynamique unitaire et de rassemblement, nous avons créée Feddé Dental Guénar, une structure qui a commencé le travail de sensibilisation des populations aux inscriptions sur les listes électorales. Le travail sur le terrain commence avec les inscriptions.
Il ne servira à rien de convaincre les gens au moment du scrutin, s’ils n’ont pas été mis auparavant dans des conditions de pouvoir voter, à travers les inscriptions sur les listes électorales. La période des inscriptions est la phase de constitution du stock des électeurs. Nous avons lancé le concept 2 fois 3 M : Macky Mine Mbii/ Macky Molene Meune en perspective de l’élection présidentielle de 2017 pour laquelle nous allons donner le maximum de suffrages à notre candidat dans toutes ces localités. Ce concept sera d’ailleurs vulgarisé dans d’autres localités du pays.
Tant qu’il s’agissait de compétitions locales à Matam, je pouvais ne pas me mêler. Mais dès lors qu’il s’agit de la réélection du Président Sall, mes amis et moi entendons mettre toutes les chances de son côté et éviter que les manœuvres qui avaient eu cours lors des précédentes joutes électorales lui fassent à nouveau perdre des suffrages. Nous avons entamé un travail qui va se poursuivre jusqu’à sa victoire en 2017.
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