A les en croire : «Le traitement des différents et variés avis des spécialistes consultants ou consultés laisse apparaitre une vulnérabilité certaine en terme de santé de la personne qui induit inéluctablement à une prise en charge médicale urgente en l’état et manifestement incompatible avec les servitudes et rigueurs de toute comparution devant un Tribunal».
Au regard des dispositions pertinentes des Conventions internationales signées et ratifiées par l’Etat du Sénégal et reprises à l’article 07, alinéa 1er de la Constitution de 2001 « la personne humaine est sacrée. Elle est inviolable. L’Etat a l’obligation de la respecter et de la protéger ».
Le droit à la santé est également garanti comme corollaire au droit à la vie.
«Nos Organisations considèrent par conséquent qu’au-delà de la personne de Bibo Khalil BOURGI aussi bien le droit à la vie que le droit à la santé ne sauraient être sacrifiés sous l’autel d’impératifs d’une procédure judiciaire ou d’enjeux quelconques», indiquent-ils.
Et de poursuivre : « Il s’agit d’un combat de principe qui transcende les causes circonstancielles».
Au regard des dispositions pertinentes des Conventions internationales signées et ratifiées par l’Etat du Sénégal et reprises à l’article 07, alinéa 1er de la Constitution de 2001 « la personne humaine est sacrée. Elle est inviolable. L’Etat a l’obligation de la respecter et de la protéger ».
Le droit à la santé est également garanti comme corollaire au droit à la vie.
«Nos Organisations considèrent par conséquent qu’au-delà de la personne de Bibo Khalil BOURGI aussi bien le droit à la vie que le droit à la santé ne sauraient être sacrifiés sous l’autel d’impératifs d’une procédure judiciaire ou d’enjeux quelconques», indiquent-ils.
Et de poursuivre : « Il s’agit d’un combat de principe qui transcende les causes circonstancielles».