Celle-ci aurait ainsi l’avantage : (i) d’attester que, dans l’« affaire Karim Wade », il y a eu pour le moins une confusion sinon une interconnexion entre les pouvoirs exécutif et judiciaire, nécessairement préjudiciable au prévenu ; (ii) et, ne serait-ce que pour cela, d’octroyer à ce dernier, de par justement le bénéfice de la grâce amnistiante, la disparition totale du caractère pénal de ce pour quoi il a été condamné.
Alors, Monsieur Karim Wade, comme citoyen sénégalais, et en tant qu’homme politique sénégalais, pourra obtenir de l’Etat, et peut-être aussi du Peuple sénégalais, les effets réels de l’exercice efficient de « leur droit et de leur devoir indissolublement réunis à l’oubli » des délits et autres crimes objets de sa condamnation.
Dakar le 16 juin 2016.
Jean-Marie François BIAGUI
Président du Parti Social-Fédéraliste (PSF)
Alors, Monsieur Karim Wade, comme citoyen sénégalais, et en tant qu’homme politique sénégalais, pourra obtenir de l’Etat, et peut-être aussi du Peuple sénégalais, les effets réels de l’exercice efficient de « leur droit et de leur devoir indissolublement réunis à l’oubli » des délits et autres crimes objets de sa condamnation.
Dakar le 16 juin 2016.
Jean-Marie François BIAGUI
Président du Parti Social-Fédéraliste (PSF)