Le patron de Tse était l'absent le plus présent, hier, à l'Assemblée nationale. Selon L'As, l'ors des débats sur le projet de Loi de finances rectificative ( Lfr) , le député Barthélemy Dias, a mis au gout du jour l'affaire des 8 milliards de phosphatages qui aurait éclaboussé Cheikh Amar à l'époque où Wade était au pouvoir.
Interpellant le ministre des Finances Amadou Bâ, le député socialiste a péremptoirement soutenu que les 8 milliards décaissés par l'ancien régime dans le cadre des décrets d'avance ont servi à financer la campagne électorale de Me Abdoulaye Wade en 2012. Pour asseoir le bien-fondé de cette thèse, le député-maire de Mermoz-Sacré-Cœur note que Cheikh Amar a encaissé l'argent pour un travail qu'il n'a pas effectué : le phosphatage de terre. Et c'est parti pour un procès en règle contre le patron de TSE. En réaction aux intervenants des différents parlementaires, le ministre Amadou Bâ soutien que l'Etat a versé un reliquat de 8 milliards de FCfa à l'homme d'affaires. Cependant, ajoute-t-il, l'Inspection générale d'Etat ( Ige) s'est saisie du dossier...pour faire la lumière.
Interpellant le ministre des Finances Amadou Bâ, le député socialiste a péremptoirement soutenu que les 8 milliards décaissés par l'ancien régime dans le cadre des décrets d'avance ont servi à financer la campagne électorale de Me Abdoulaye Wade en 2012. Pour asseoir le bien-fondé de cette thèse, le député-maire de Mermoz-Sacré-Cœur note que Cheikh Amar a encaissé l'argent pour un travail qu'il n'a pas effectué : le phosphatage de terre. Et c'est parti pour un procès en règle contre le patron de TSE. En réaction aux intervenants des différents parlementaires, le ministre Amadou Bâ soutien que l'Etat a versé un reliquat de 8 milliards de FCfa à l'homme d'affaires. Cependant, ajoute-t-il, l'Inspection générale d'Etat ( Ige) s'est saisie du dossier...pour faire la lumière.
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