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Affaire des cinq lesbiennes: Le préfet de Dakar ferme le bar Piano Piano et retire au tenancier sa licence


Rédigé par leral.net le Samedi 16 Novembre 2013 à 10:43 | | 1 commentaire(s)|

Affaire des cinq lesbiennes: Le préfet de Dakar ferme le bar Piano Piano et retire au tenancier sa licence
Le préfet de Dakar, Alioune Badara Diop, ne perd de temps. Il a fermé le "Piano Piano" qui a servi de cadre pour les cinq jeunes filles impliquées dans l'affaire d’actes contre-nature. Cette décision a été notifiée, ce vendredi, au propriétaire du bar dont la licence a été retirée. Quand au mises en causes, elles seront fixées sur leur sort ce lundi devant le tribunal des flagrants délits de Dakar,



1.Posté par Melle BonkoBâ dite BambiBâ le 16/11/2013 16:56 | Alerter
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salut
quand Galilée disait que la terre n'est pas le centre du monde, il allait être guillotiné,et sa dernière phrase était : "et pourtant, elle tourne"
Avec l'affaire de ces filles l'on dira et pourtant c'est naturel.Ces homosexuelles qui s'adonnaient à un jeu de plaisir dans un bar de la place, si vraiment elles sont des homo,je dirait qu'elles sont victimes de leur nature originelle, loin de nous l'idée de défendre les dérives sexuelles de ces femmes ,mais c'est pour seulement répéter que la nature prend toujours le dessus sur le factice.On a beau se mentir mais les réalités psychosomatiques trahissent toujours.L'être premier animal et l'être sociale.L'hypocrisie sociale exclut l'éclosion de l'état premier d'où cette dualité psychosomatique qui crée cette crise comportementale chez ces gens... Pourquoi elles ont le toupet d'aller dans un bar pour s'exposer, c'est une manière de démontrer leur existence, une volonté de se faire accepter.La question qu'on devrait se poser est: pourquoi ces maux que l'on disait occidentaux, apparaissent maintenant dans nos cieux.C'est parce-que le climat éducationnel qui est l'origine de ce phénomène est réalité maintenant dans notre sociale.Ces dérives qu'on dit contre nature trouvent leur source dans l'histoire éducationnelle de ces jeunes femmes qui sont plutôt victimes que coupables... A moins qu'elles tombent dans le vice .là c'est une autre affaire.Bref on peut les prendre comme des déviants devant la société mais dans les réalités psychanalytiques, elles sont des victimes. Seulement les normes nous dictent de ne pas entretenir le mal,même s' il demeure.La police sociale interdit ça, parce-que c'est une question de comportement pudique chez la Femme symbole de vertu dans la société africaine.Le comportement de ces jeunes femmes est une alerte qui quelque part démontre que nos socles sont entrain d'être ébranlés,alors comment faire pour gérer ces nouveaux maux d'ailleurs qui surgissent chez nous maintenant.
Fermer le bar n'est pas la solution,car ça porte préjudice non seulement au propriétaire qui vit de son milieu, mais aussi à ces employés qui n'avaient que leur job pour survivre.Modestement je dirais que les agents de sécurité publiques devraient les sermonner pour que pareils événements ne se répètent plus.
Trouver un emploi est un grand problème, le perdre en est un autre.
Nous vivons dans des sociétés malades c'est un bon travail de communication qui sera la thérapie.
MelleBonkoBâ dite BambiBâ Tél 773055545
Vendeuse ambulante de produits cosmétiques
Vendeuse ambulante de café Touba
Vendeuse de racines pour soin bien.
Ps:Pour parler comme Ndéye Takhawalou,plus de quarante ans dans le pétrin,des événements pareils constituent pour nous des insolites, parce qu' on en a tellement vu que l' on en fera des scénaris pour films très éducatifs au fonds.

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