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Agacé, Patrick Sébas­tien répond à la polé­mique sur sa « petite pipe » : « Je pour­rais attaquer en diffa­ma­tion »

Rédigé par leral.net le Mardi 5 Mai 2015 à 09:06 | | 0 commentaire(s)|

La nouvelle chan­son de Patrick Sébas­tien, Une petite pipe, a soulevé un tollé hier. Il a répondu à ses détrac­teurs et en parti­cu­lier à la secré­taire d'Etat, dans Touche pas à mon poste, hier soir.


Agacé, Patrick Sébas­tien répond à la polé­mique sur sa « petite pipe » : « Je pour­rais attaquer en diffa­ma­tion »
Patrick Sébas­tien ne pensait pas choquer à ce point avec sa nouvelle chan­son, Une petite pipe, qu'il a présen­tée samedi soir sur France 2 dans Les années bonheur. « C'est un hommage au patri­moine français, avait-il déclaré, à George Sand, à Sime­non, à Bras­sens, les grands auteurs qui fumaient la pipe. » Sauf que le refrain « Une petite pipe avant d'aller dormir, une petite pipe avant d'aller se coucher » a choqué la secré­taire d'Etat à la famille, Laurence Rossi­gnol, qui a déclaré sur RTL hier matin qu'elle trou­vait ça « extrê­me­ment choquant » et « limite inces­tueux ».

Sur le plateau de Touche pas à mon poste hier soir, Patrick Sébas­tien a été attaqué sur le côté « double sens » de son morceau. Il a comparé son morceau qui « effec­ti­ve­ment à un double sens » aux Sucettes à l'anis de Gains­bourg. « C'est très simple, pour­suit-il, j'ai fait ce qu'a fait Gains­bourg dans Les sucettes à l'anis, ce qu'a fait Lio dans Banana Slip (sic), euh, Split. Dans le truc, il n'y a pas un seul gros mot, pas une seule vulga­rité, il n'y a rien du tout. Alors les gens qui me disent : « Comment on explique ça à nos mômes ? » Moi j'ai une petite de 7 ans et demi, et c'est facile à expliquer. Soit la gamine comprend le double-sens et il n'y a rien à expliquer. Soit elle le comprend pas et comme j'ai dit à la mienne, c'est une ciga­rette. Le seul truc qu'on peut me repro­cher et ça j'assume à fond, c'est l'apolo­gie du tabac. Et je tombe sous le coup de la loi. »

Quant à l'attaque de la secré­taire d'Etat, Patrick Sébas­tien se défend : « Parler de pédo­phi­lie ou d'inceste, c'est grave. Je peux l'attaquer en diffa­ma­tion parce que c'est vrai­ment grave. Et puis surtout elle est mal tombée parce depuis 3 ans je suis parrain d'une asso­cia­tion [Enfance et Partage, ndlr] et ça fait deux ans que je demande à ce que l'enfance maltrai­tée soit une cause natio­nale. Alors si ça peut servir à ça… »

Quant à l'attaque de la secré­taire d'Etat, Patrick Sébas­tien se défend : « Parler de pédo­phi­lie ou d'inceste, c'est grave. Je peux l'attaquer en diffa­ma­tion parce que c'est vrai­ment grave. Et puis surtout elle est mal tombée parce depuis 3 ans je suis parrain d'une asso­cia­tion [Enfance et Partage, ndlr] et ça fait deux ans que je demande à ce que l'enfance maltrai­tée soit une cause natio­nale. Alors si ça peut servir à ça… »

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