Après un peu plus de 3 mois d’activité agricole, les récoltes sont lancées depuis hier à Wendou Bosséabé. Au périmètre des hommes réalisé ou l’ensemble des foyers du village sont servis, les agriculteurs se réjouissent des résultats. Comme le confie le vieux Alassane Sow ; « c’est une grande fierté pour tout Bosséabé. Nous rendons grâce à Dieu et réitérons nos remerciements envers Harouna Dia. Cet homme nous a montré la bonne voix. Nous n’avons jamais pensé produire du maïs à cette période de l’année. Mais aujourd’hui jugez-en de vous-même. C’est une réalité. Malgré la baisse pluviométrique qui a compromis les cultures pluviales, nous, nous sommes à l’abri de toute insécurité alimentaire. D’autant qu’on est là à notre deuxième campagne. Nous avons du maïs et le bétail dispose également suffisamment d’aliments. C’est véritablement la joie ici à Bosséabé ». En fait c’est en 2010 que le milliardaire a décidé de doter aux hommes de son village d’un périmètre pour la production céréalière. L’ami du président Macky Sall finance alors la réalisation d’un second forage sur les bords du bras du fleuve le Dioulol. Des terres qui avaient fini par être abandonnées du fait du tarissement du Dioulol depuis la mise en œuvre des barrages de Diama et de Manantaly. Cet ingénieur hydraulicien de formation, transformé en vendeur de Poisson au pays des hommes intègres, théorise et ordonne le couplage des deux forages pour non seulement assurer l’alimentation de son village mais surtout la disponibilité en permanence de l’eau pour irriguer les projets agricoles gracieusement mis à la disposition des hommes et des femmes de Wendou Bosséabé. Comme donner un coup de poucet Harouna Dia prend entièrement en charge les couts de tous les facteurs de productions pendant les 2 premières campagnes avant de céder la place à un comité de gestion créé à l’occasion d’une assemblée générale devant les chefs de l’ensemble des foyers de la localité. Connectés au réseau électrique de la Senelec, les deux périmètres dotés d’un système d’irrigation par asperseur disposent également d’une source d’alimentation autonome. Pour avoir résolu la question de la disponibilité de l’eau en permanence, les populations de Bosséabé concrétisent ainsi le rêve de produire en toute saison. Selon Omar Ndao ; « nous produisons en continue. Nous faisons 2 campagnes en maïs pour assurer la couverture céréalière des familles et ensuite nous nous tournons vers le maraichage. Les différentes productions de gombo génèrent d’importants revenus financiers. C’est dire qu’à travers cette réalisation de notre fils Harouna, le village est au dessus de la mêlé. Nous en rendons grâce à Dieu et disons merci à Harouna Dia » ; déclare le chef de village. Sur le terrain des jeunes talibés venus d’horizon divers sont entrain de monnayer leur talent en prêtant main forte aux paysans. A l’entrée du périmètre des charretiers réglementent les allés et venus. A tour de rôle, ils se chargent d’acheminer les sacs de maïs et la paille vers le village en raison de 500 f la course. Des initiatives à encourager selon Youssouf Gueye le directeur du développement rural de Matam ; « c’est une réalisation qui mène vers l’émergence. Ce concept de forage agricole qui permet la production en toute saison s’inscrit en droite ligne avec le Pse. Avec les rendements générés la sécurité alimentaire est assurée dans cette localité de Wendou. D’après les chiffres déjà disponibles on est dans la fourchette de 5 à 6 tonnes à l’hectare.
le milliardaire Arona Dia serait indésirable au Palais où il n’aurait plus ses entrées. Au moment où ces lignes sont écrites ( jeudi 22H05), M. Arona Dia, arrivé hier mercredi à Dakar par vol Air Burkina, est au Palais de la République pour assister au Secrétariat exécutif de l’APR, selon des sources dignes de foi . Cet homme, qui souffle chaque jour que Dieu fait dans l’oreille de Macky avec qui il est lié par une amitié inoxydable, n’a pas besoin de s’encombrer de titres ou responsabilités étatiques. Car il est aux manettes d’un empire financier immense et respectable
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