Je m’appelle Mamadou Lô. J’ai 30 ans. J’habite au quartier Diamegueune de Thiès. J’ai été victime, en 2002, d’un accident de la circulation qui depuis lors, a changé le cours de ma vie. Je m’adresse à vos sensibilités pour vous demander par ALLAH, de m’aider à revivre. Par une matinée en 2002, j’ai quitté ma maison pour me rendre au travail. En cours de route, j’ai dû rebrousser chemin parce que j’avais tout le corps engourdi. J’ai pris une douche et je suis ressorti de la maison pour me rendre à l’atelier de menuiserie métallique de mon père où je travaillais. Au coin de la rue, j’ai vu un camion qui déchargeait des ustensiles de cuisine devant la maison voisine. Quand le camion a repris son chemin, j’ai demandé au chauffeur de bien vouloir me transporter. Quand je me suis agrippé à la portière du véhicule, il était déjà en mouvement. J’ai trébuché sur la marche pied du véhicule. Je me suis retrouvé sous le camion traîné sur une distance de 5 mètres. Les quatre roues arrière du véhicule sont passées sur mon bassin écrasé. J’avais les os cassés, tout le bassin broyé par la puissance du camion. J’ai eu de la chance que l’accident se soit passé sur la voix très sablonneuse de mon quartier qui a amorti le choc. Certainement si c’était sur le goudron, je passerais de vie à trépas. C’est ainsi que j’ai été acheminé inconscient à l’hôpital.
J’en suis sorti avec une fracture multiple des os du bassin et une rupture post traumatique de l’urètre membraneux avec un déplacement important vers le haut de l’apex prostatique. De 2001 à 2010, j’ai subi deux urétroplasties anastomotiques, trois urétérostomies endoscopiques, et une dernière urétroplastie selon QUARTEY (lambeau pénien pédiculé) sans succès. Toutes ces interventions n’ont pu stopper le rétrécissement urétral qui persiste toujours.
En termes clairs, sachez que depuis 10 ans, je vis avec une sonde parce que je n’arrive pas à uriner normalement, vu le rétrécissement urétral qui ne cesse de s’aggraver. Je n’ai presque plus de vie. Je souffre atrocement. Je suis obligé de traîner tout le temps la sonde que je vide pratiquement toutes les 5 minutes, un exercice infernal. Il arrive souvent que le tuyau de la sonde soit bouché par les caillots d’urine. Dans ces instants, je crève de douleur car l’urine est refoulée dans la vessie.
Depuis 10 ans, je fais la navette entre Thiès et l’hôpital Aristide Le Dantec pour me soigner. Plusieurs fois, j’ai subi des opérations sans succès. Mon père a dépensé toutes ses économies pour me soigner alors qu’il n’en a pas les moyens. Ses affaires ne marchent plus puisque j’étais son seul soutien dans son atelier.
Depuis 10 ans, c’est la croix et la bannière pour mes parents de prendre en charge mes soins médicaux. Finalement, les médecins me traitaient sans bourse déliée.
Aujourd’hui, j’ai dû arrêter mon traitement au Chu de l’hôpital Aristide Le dantec.
Suite à l’échec des interventions chirurgicales effectuées par l’hôpital Aristide le Dantec, mon médecin traitant m’a dit que le matériel pour réussir les opérations n’existe qu’en France.
Il m’a fait un résumé de dossier que j’ai envoyé, muni d’une demande de prise en charge au service urologie de l’hôpital Cochin de Paris pour une autre intervention chirurgicale. Le médecin a estimé l’intervention, l’hospitalisation, le billet et les frais de séjour à la somme de dix sept millions de frs (17 000 000) millions de francs. Si je fais cette opération, je serais guéri en moins de temps. Toutefois, la précarité de m’a famille m’avait obligé de lancer un appel dans les radios et dans le Web pour un m’aider à retrouver la vie. Aussi quelques bonnes volontés ont réagi en versant dans un compte ouvert à la CBAO sous le numéro 04213-34169183301/51. J’ai pu alors collecter moins d’un million. Ce qui est encore loin de la note.
Où que vous soyez, au Sénégal ou à l’étranger, ce cri du cœur s’adresse à vous. J’en appelle à votre sensibilité et à votre sens de la solidarité pour aider un frère dans le besoin, à recouvrer la santé, après 10 ans de maladie vécu dans une foi profonde et un espoir inébranlable au secours d’ALLAH. Je suis issu d’une famille démunie qui n’arrive pas à s’acquitter de mes frais d’hospitalisation. C’est pourquoi je compte sur votre générosité pour m’aider à gouter à nouveau à la vie, à recouvrer la santé.
J’en suis sorti avec une fracture multiple des os du bassin et une rupture post traumatique de l’urètre membraneux avec un déplacement important vers le haut de l’apex prostatique. De 2001 à 2010, j’ai subi deux urétroplasties anastomotiques, trois urétérostomies endoscopiques, et une dernière urétroplastie selon QUARTEY (lambeau pénien pédiculé) sans succès. Toutes ces interventions n’ont pu stopper le rétrécissement urétral qui persiste toujours.
En termes clairs, sachez que depuis 10 ans, je vis avec une sonde parce que je n’arrive pas à uriner normalement, vu le rétrécissement urétral qui ne cesse de s’aggraver. Je n’ai presque plus de vie. Je souffre atrocement. Je suis obligé de traîner tout le temps la sonde que je vide pratiquement toutes les 5 minutes, un exercice infernal. Il arrive souvent que le tuyau de la sonde soit bouché par les caillots d’urine. Dans ces instants, je crève de douleur car l’urine est refoulée dans la vessie.
Depuis 10 ans, je fais la navette entre Thiès et l’hôpital Aristide Le Dantec pour me soigner. Plusieurs fois, j’ai subi des opérations sans succès. Mon père a dépensé toutes ses économies pour me soigner alors qu’il n’en a pas les moyens. Ses affaires ne marchent plus puisque j’étais son seul soutien dans son atelier.
Depuis 10 ans, c’est la croix et la bannière pour mes parents de prendre en charge mes soins médicaux. Finalement, les médecins me traitaient sans bourse déliée.
Aujourd’hui, j’ai dû arrêter mon traitement au Chu de l’hôpital Aristide Le dantec.
Suite à l’échec des interventions chirurgicales effectuées par l’hôpital Aristide le Dantec, mon médecin traitant m’a dit que le matériel pour réussir les opérations n’existe qu’en France.
Il m’a fait un résumé de dossier que j’ai envoyé, muni d’une demande de prise en charge au service urologie de l’hôpital Cochin de Paris pour une autre intervention chirurgicale. Le médecin a estimé l’intervention, l’hospitalisation, le billet et les frais de séjour à la somme de dix sept millions de frs (17 000 000) millions de francs. Si je fais cette opération, je serais guéri en moins de temps. Toutefois, la précarité de m’a famille m’avait obligé de lancer un appel dans les radios et dans le Web pour un m’aider à retrouver la vie. Aussi quelques bonnes volontés ont réagi en versant dans un compte ouvert à la CBAO sous le numéro 04213-34169183301/51. J’ai pu alors collecter moins d’un million. Ce qui est encore loin de la note.
Où que vous soyez, au Sénégal ou à l’étranger, ce cri du cœur s’adresse à vous. J’en appelle à votre sensibilité et à votre sens de la solidarité pour aider un frère dans le besoin, à recouvrer la santé, après 10 ans de maladie vécu dans une foi profonde et un espoir inébranlable au secours d’ALLAH. Je suis issu d’une famille démunie qui n’arrive pas à s’acquitter de mes frais d’hospitalisation. C’est pourquoi je compte sur votre générosité pour m’aider à gouter à nouveau à la vie, à recouvrer la santé.