C’était l’une des promesses faites par Abdelmadjid Tebboune dès l’annonce de son élection. Il veut réformer la Constitution et proposer un référendum pour faire valider le texte. Selon un communiqué publié par l’agence officielle de presse, il s’agit ainsi de «répondre à l’une des principales revendications du mouvement» de protestation.
Quant à la méthodologie, une commission de 17 personnes, dont une majorité de professeurs de droit a deux mois pour remettre des propositions au président. La présidence affirme qu'ensuite des consultations auront lieu avec des acteurs politiques et la société civile, avant que le texte ne soit présenté au Parlement pour être adopté, puis proposé aux Algériens par referendum.
Le président donne 7 priorités à cette révision dont renforcer les droits et les libertés, moraliser la vie publique et lutter contre la corruption ou encore la séparation et l’équilibre des pouvoirs. Depuis 1999, la Constitution avait été modifiée trois fois alors qu’Abdelaziz Bouteflika était président.
Quant à la méthodologie, une commission de 17 personnes, dont une majorité de professeurs de droit a deux mois pour remettre des propositions au président. La présidence affirme qu'ensuite des consultations auront lieu avec des acteurs politiques et la société civile, avant que le texte ne soit présenté au Parlement pour être adopté, puis proposé aux Algériens par referendum.
Le président donne 7 priorités à cette révision dont renforcer les droits et les libertés, moraliser la vie publique et lutter contre la corruption ou encore la séparation et l’équilibre des pouvoirs. Depuis 1999, la Constitution avait été modifiée trois fois alors qu’Abdelaziz Bouteflika était président.