Avant-hier, la marin russe flanqué d’un commandant de pêche sénégalais, a rencontré le Réseau des parlementaires africains contre la corruption (APNAC) pour donner sa version des faits survenus.
Selon des sources ayant pris part à cette rencontre, le capitaine Mantorov a déploré “la surmédiatisation” de cette affaire par le ministre de la Pêche, Ali Aïdar qui “aurait dû la gérer en toute discrétion”. “Chaque jour, des bateaux sont arraisonnés sans pour autant que cela ne crée un tollé”, a déclaré le russe devant les députés.
Pour mettre fin à cette affaire, le capitaine Oleg Naydenov se dit même prêt à “claquer jusqu’à 600 millions de francs Cfa” si nécessaire, en lieu et place des 400 millions réclamés par les autorités sénégalaises.
Selon toujours nos information, il n'a pas manqué de s'en prendre à l'homme d'affaires Saër Seck, qu’il accuse de “monter” le Groupement des armateurs et industriels de la pêche au Sénégal (GAIPES) contre son navire.
En fin de compte, les députés membre du réseau APNAC ont promis de rencontrer toutes les parties prenantes avant de se faire une religion sur cette affaire. “Notre rôle est d’écouter tout le monde”, confie l'un d'entre eux.
EnQuête
Selon des sources ayant pris part à cette rencontre, le capitaine Mantorov a déploré “la surmédiatisation” de cette affaire par le ministre de la Pêche, Ali Aïdar qui “aurait dû la gérer en toute discrétion”. “Chaque jour, des bateaux sont arraisonnés sans pour autant que cela ne crée un tollé”, a déclaré le russe devant les députés.
Pour mettre fin à cette affaire, le capitaine Oleg Naydenov se dit même prêt à “claquer jusqu’à 600 millions de francs Cfa” si nécessaire, en lieu et place des 400 millions réclamés par les autorités sénégalaises.
Selon toujours nos information, il n'a pas manqué de s'en prendre à l'homme d'affaires Saër Seck, qu’il accuse de “monter” le Groupement des armateurs et industriels de la pêche au Sénégal (GAIPES) contre son navire.
En fin de compte, les députés membre du réseau APNAC ont promis de rencontrer toutes les parties prenantes avant de se faire une religion sur cette affaire. “Notre rôle est d’écouter tout le monde”, confie l'un d'entre eux.
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