Dans un communiqué de presse, Me Abdoulaye Tine et Assane Dioma Ndiaye jugent "inopportune la privation de liberté de leur client qui, selon eux, séjournait régulièrement au Sénégal en qualité d'étranger ordinaire et non pas de réfugié politique. Aussi, estiment-ils que, sur "le plan purement procédural, les interrogatoires auxquels est soumis M. Bayo depuis son arrestation, auraient pu se dérouler sous le régime normal de l'audition libre".
Mes Tine et Ndiaye tiennent à rappeler aux autorités sénégalaises que leur devoir élémentaire est de traiter M. Bayo de manière conforme "aux standards internationaux de civilisation" applicables aux étrangers en toute circonstance et en tout lieu, c'est-à-dire de lui assurer d'une part toutes les garanties formelles minimales et d'autre part le droit à un recours effectif. Cela, conformément à l'article 13 du Pacte des Nations Unies sur les droits civils et politiques et à l'article 12 de la Charte africaine des droits de l'homme et des peuples. En conséquence de quoi, ils exigent la libération immédiate et sans condition de leur client.
Mes Tine et Ndiaye tiennent à rappeler aux autorités sénégalaises que leur devoir élémentaire est de traiter M. Bayo de manière conforme "aux standards internationaux de civilisation" applicables aux étrangers en toute circonstance et en tout lieu, c'est-à-dire de lui assurer d'une part toutes les garanties formelles minimales et d'autre part le droit à un recours effectif. Cela, conformément à l'article 13 du Pacte des Nations Unies sur les droits civils et politiques et à l'article 12 de la Charte africaine des droits de l'homme et des peuples. En conséquence de quoi, ils exigent la libération immédiate et sans condition de leur client.
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