Invité de l’émission « Grand-Jury » dans la matinée sur la Rfm, le secrétaire général de l’Union des forces patriotiques émergentes (Ufpe), a expliqué que Macky Sall ne vise que « deux choses » dans cette affaire de poursuite de certains dignitaires du régime libéral. Il tente de « faire mal » à Me Abdoulaye Wade pour « se venger de tout ce qu’on lui a fait subir dans le passé », constate-t-il. L’ancien secrétaire général adjoint de la Présidence de la République sous Wade, rapporte que Macky Sall sait par où il faut passer pour « atteindre » Wade. Il comprend donc l’arrestation de Karim Wade dans ce sens, car leur père a « beaucoup d’affection » pour ses enfants.
Le second objectif visé par le Chef de l’Etat en place, selon Mbaye Diack, est « d’éviter que Karim Wade se place en challenger pour la présidentielle de 2017 ». Il pense que Macky Sall est dans une dynamique « d’empêcher la candidature potentielle » de Karim Wade à ces élections, vu qu’il est en voie de devenir un « homme national ». C’est pourquoi, Mbaye Diack a estimé que les accusations d’enrichissement illicite portées sur le fils de l’ancien Président, sont « gratuites », et représentent à la limite des « affabulations ». Il reste convaincu que Karim Wade ne pouvait pas s’enrichir autant en passant entre toutes les mailles des filets de la « Cour des comptes et de l’Inspection général d’Etat ».
Mbaye Diack n’a pas manqué de regretter l’arrestation « programmée » de l’ancien ministre, en se basant sur la rapidité des choses. L’ancien proche collaborateur de Wade a justifié le rôle de Karim Wade auprès de son père de Président à l’époque. Ce n’était pas pour bénéficier des privilèges, mais parce que le père avait une certitude sur les « compétences » du fils pour la réalisation de ses « grands chantiers », a précisé Mbaye Diack.
Le second objectif visé par le Chef de l’Etat en place, selon Mbaye Diack, est « d’éviter que Karim Wade se place en challenger pour la présidentielle de 2017 ». Il pense que Macky Sall est dans une dynamique « d’empêcher la candidature potentielle » de Karim Wade à ces élections, vu qu’il est en voie de devenir un « homme national ». C’est pourquoi, Mbaye Diack a estimé que les accusations d’enrichissement illicite portées sur le fils de l’ancien Président, sont « gratuites », et représentent à la limite des « affabulations ». Il reste convaincu que Karim Wade ne pouvait pas s’enrichir autant en passant entre toutes les mailles des filets de la « Cour des comptes et de l’Inspection général d’Etat ».
Mbaye Diack n’a pas manqué de regretter l’arrestation « programmée » de l’ancien ministre, en se basant sur la rapidité des choses. L’ancien proche collaborateur de Wade a justifié le rôle de Karim Wade auprès de son père de Président à l’époque. Ce n’était pas pour bénéficier des privilèges, mais parce que le père avait une certitude sur les « compétences » du fils pour la réalisation de ses « grands chantiers », a précisé Mbaye Diack.