Baïla Wane a annoncé, sans sourciller, son ralliement à l’APR de Macky Sall. Selon lui, ses déboires ont commencé dans le PDS depuis qu’il a affirmé son amitié avec Macky Sall.
Hier c’est autour de Abdoulaye Diop, le DG du Conseil Sénégalais des Chargeurs (COSEC). Pour garder son fauteuil moelleux de DG, ce natif de Sédhiou n’a pas hésité à aller, avec armes et bagages, s’agenouiller comme un vulgaire mendiant devant le prince de l’APR,le tout nouvel homme fort du Sénégal, le Président Macky Sal.
A Kaolack, le sénateur Daouda Faye, a lui aussi claquer la porte du PDS. Cet ex-résponsable libéral n’a pas encore adhéré à l’APR. Il joue au malin. Il annocé avoir avec lui plusieurs miliers de militants. C’est une façon de négocier des sucettes ou encore des privilèges avec parti au pouvoir. Qui parlait de la restauration des valeurs morales? En tout cas au rythme où vont les choses, on s’achemine droit vers le scénario de 2000: un PDS qui se massifiait au dépend du PS qui avait perdu l’élection présidentielle et sa splendeur au passage. Résultat, les perdants étaient revenus au pouvoir par la petite porte. Les militants de l’APR doivent beaucoup se méfier de ces militants alimentaires qui ne peuvent évoluer que dans les couloirs d’un parti au pouvoir.
Par: Souleymane Diop (Senego)
Hier c’est autour de Abdoulaye Diop, le DG du Conseil Sénégalais des Chargeurs (COSEC). Pour garder son fauteuil moelleux de DG, ce natif de Sédhiou n’a pas hésité à aller, avec armes et bagages, s’agenouiller comme un vulgaire mendiant devant le prince de l’APR,le tout nouvel homme fort du Sénégal, le Président Macky Sal.
A Kaolack, le sénateur Daouda Faye, a lui aussi claquer la porte du PDS. Cet ex-résponsable libéral n’a pas encore adhéré à l’APR. Il joue au malin. Il annocé avoir avec lui plusieurs miliers de militants. C’est une façon de négocier des sucettes ou encore des privilèges avec parti au pouvoir. Qui parlait de la restauration des valeurs morales? En tout cas au rythme où vont les choses, on s’achemine droit vers le scénario de 2000: un PDS qui se massifiait au dépend du PS qui avait perdu l’élection présidentielle et sa splendeur au passage. Résultat, les perdants étaient revenus au pouvoir par la petite porte. Les militants de l’APR doivent beaucoup se méfier de ces militants alimentaires qui ne peuvent évoluer que dans les couloirs d’un parti au pouvoir.
Par: Souleymane Diop (Senego)
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