Il faut le voir pour le croire. Sans respect aucun pour les clients de l’hôtel, les travailleurs et les organisateurs de Bercy 2013, la horde sauvage a pris d’assaut les lieux, imposant son inconscience et sa médiocrité. Déjà, il n’y en avait vendredi que pour leurs voix et leurs postillons. Se moquant sans ménagement de tous, imposant leur accoutrement de coxeurs et pantalons moulant, ils ont dicté leur loi.
Mais c’est samedi matin que l’infect a été atteint. Plongeant dans les caniveaux et offrant un spectacle indigne de la Nation sénégalaise et de tous ceux qu’ils sont censés représenter en terre de France. Mais le savent-ils seulement ?
Une Bagarre pour «six billets» supposés volés éclate hors de l’hôtel après moult palabres et insanités interminables dans le hall de l’établissement.
Dehors, l’un des protagonistes sort un couteau. On croit rêver. « Comment a-t-on pu en arriver là ? », se demandent plein des Sénégalais, surtout les anciens qui « ont montré une toute autre image du Sénégal dans les années 1960, 1970, 1980, 1990 ».
La génération qui a provoqué le bordel n’en a cure de ce Sénégal du «fayda, diom, kolore, wolere ». Elle s’en fout.
La police débarque sur les lieux, il est demandé aux personnes de présenter leur carte (clé) de chambre ou de quitter les lieux. Certains Sénégalais s’exécutent, d’autres quittent les lieux, pour un moment, mais l’énervement monte. « C’en est trop », estime un journaliste sénégalais. Pour lui, la « liberté vient d’être bafouée par la faute d’une bande de crétins ». Les policiers s’en vont sans trop déranger, « ils connaissent les limites à ne pas dépasser ».
La directrice de l’hôtel, elle, par contre, s’emporte. Et rebelote. Les cartes de chambres sont exigées. Le même journaliste qui doit en savoir un bout sur ses droits, demande à la dame « de passer son chemin », employant exactement le même ton qu’elle. « Probablement un citoyen européen », fait remarquer un certain Mamadou Ndiaye.
Au moment où nous mettons en ligne, c’est toujours le bazar. Une honte.
Avec Gfm
Mais c’est samedi matin que l’infect a été atteint. Plongeant dans les caniveaux et offrant un spectacle indigne de la Nation sénégalaise et de tous ceux qu’ils sont censés représenter en terre de France. Mais le savent-ils seulement ?
Une Bagarre pour «six billets» supposés volés éclate hors de l’hôtel après moult palabres et insanités interminables dans le hall de l’établissement.
Dehors, l’un des protagonistes sort un couteau. On croit rêver. « Comment a-t-on pu en arriver là ? », se demandent plein des Sénégalais, surtout les anciens qui « ont montré une toute autre image du Sénégal dans les années 1960, 1970, 1980, 1990 ».
La génération qui a provoqué le bordel n’en a cure de ce Sénégal du «fayda, diom, kolore, wolere ». Elle s’en fout.
La police débarque sur les lieux, il est demandé aux personnes de présenter leur carte (clé) de chambre ou de quitter les lieux. Certains Sénégalais s’exécutent, d’autres quittent les lieux, pour un moment, mais l’énervement monte. « C’en est trop », estime un journaliste sénégalais. Pour lui, la « liberté vient d’être bafouée par la faute d’une bande de crétins ». Les policiers s’en vont sans trop déranger, « ils connaissent les limites à ne pas dépasser ».
La directrice de l’hôtel, elle, par contre, s’emporte. Et rebelote. Les cartes de chambres sont exigées. Le même journaliste qui doit en savoir un bout sur ses droits, demande à la dame « de passer son chemin », employant exactement le même ton qu’elle. « Probablement un citoyen européen », fait remarquer un certain Mamadou Ndiaye.
Au moment où nous mettons en ligne, c’est toujours le bazar. Une honte.
Avec Gfm