Le Garde des Sceaux souhaite, la création d’une justice pénale en Afrique afin que « chaque pays ait la possibilité de juger les siens ».
’’Si chaque Etat jugeait les crimes énoncés, la cour pénale internationale (CPI) serait moins sollicitée et aurait moins de travail », a-t-il estimé lors d’un point de presse tenu à l’occasion du retrait de l’Afrique du Sud et du Burundi du Statut de Rome.
« Juger les africains dans le continent permettra de préserver la souveraineté et la stabilité des pays africains », a souligné Me Sidiki Kaba.
Il a cet effet cité le procès Habré comme exemple qui prouve que les africains sont capables de juger les enfants dans le continent sans avoir à recourir à la CPI.
Sidiki Kaba a toutefois a rappelé que « la CPI n’est qu’une juridiction d’ultime recours complémentaire aux juridictions nationales ».
’’Si chaque Etat jugeait les crimes énoncés, la cour pénale internationale (CPI) serait moins sollicitée et aurait moins de travail », a-t-il estimé lors d’un point de presse tenu à l’occasion du retrait de l’Afrique du Sud et du Burundi du Statut de Rome.
« Juger les africains dans le continent permettra de préserver la souveraineté et la stabilité des pays africains », a souligné Me Sidiki Kaba.
Il a cet effet cité le procès Habré comme exemple qui prouve que les africains sont capables de juger les enfants dans le continent sans avoir à recourir à la CPI.
Sidiki Kaba a toutefois a rappelé que « la CPI n’est qu’une juridiction d’ultime recours complémentaire aux juridictions nationales ».