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Cheikh Mbacké Gadiaga déballe: "Comment Paco Jackson Thiam a tenté de séparer Cheikh Amar de son épouse... en usant de cadavres de chien"

Rédigé par leral.net le Jeudi 7 Janvier 2016 à 18:30 | | 0 commentaire(s)|

Dans sa livraison d'hier, EnQuête révélait qu'une plainte est déposée par l’aide de camp du Président de la République contre Cheikh Mbacké Gadiaga. Dans les colonnes du quotidien Direct-Info, celui que l’on surnomme l’ami de Cheikh Amar dément et parle de complot orchestré par Paco Jackson Thiam.


"Je ne connais ni d’ Adam ni d’Eve l’aide de camp du Président Macky Sall en l’ occurrence Meïssa Sellé Ndiaye. D’ailleurs, je n’ ai le numéro d’aucun ministre de la République". C’est en ces termes que Cheikh Mbacké Gadiaga , a battu en brèche les allégations parues dans la presse hier. Comment en est-on arrivé là ? Selon notre interlocuteur : "ceci est la résultante d’un complot savamment ourdi par le jet-setter Paco Jackson Thiam".

"Son propre chauffeur m’avait sollicité pour l’amener auprès de Cheikh Amar. Il m’avait fait savoir qu’il avait besoin de ce dernier. Il a fait savoir à Cheikh Amar devant son frère Kader Ndiaye, son oncle El Hadji Diouf, que Paco Jackson, malgré toutes les largesses de Cheikh Amar à son endroit en termes d’argent, ne s’est pas privé de le marabouter en usant de cadavres de chiens" .

Pour le chauffeur, "l’objectif de Paco Jackson était d’arriver par des pratiques mystiques à séparer Cheikh Amar de son épouse, Marie Amar, de son oncle El Hadji Diouf". De l’avis de Cheikh Mbacké Gadiaga : "cette révélation a fait que Cheikh Amar a fermé les robinets au jet-setter. Ce dernier a été privé des 7 millions qu’ il recevait mensuellement pour le journal « Vogue » et autres avantages. C’est pourquoi, il m’en veut à mort". Il s’empresse d’ajouter : "C’est ce qui explique son complot qu’ il est en train de perpétrer contre moi en utilisant la presse pour me détruire. Il m’a même fait savoir qu’il va utiliser les services du chef de Cabinet adjoint de la Présidence pour me briser".

Selon Gadiaga, ce qu’on a raconté dans le journal est de la pure invention. "Entre moi et Cheikh Amar, c’est le social qui nous lie. Je sers d’entregent entre lui et les personnes qu’il aide. On ne parle pas d’autre chose. Face à cette diffamation, j’ai commis mon avocat Me Clédor Ciré Ly afin qu’il sert aujourd’hui même au quotidien « EnQuête » une citation directe", dit-il.