L’initiative de Gaston Mbengue
«Avant de faire ma déclaration, je tiens à témoigner sur Gaston Mbengue, qui se trouve être un gentleman. Ce qu’il dit est sincère en lui. C’est un ami de longue date. Celui qui te voue du respect et de l’admiration mérite qu’on accorde une grande importance sur sa personne. Nous avons des relations qui dépassent son appartenance à la fédération. Je suis un homme de parole».
«Pour revenir à la cause qui nous unit ici, je dois avouer que j’ai dit sur l’équipe s’est toujours avéré. Maintenant l’avenir appartient au Bon Dieu. Nous sommes dans le cadre d’un conflit avec des gens qui ont offensé et imploré le pardon. Et s’il dirige une délégation pour présenter les excuses, je vais l’accepter au nom de ce qui nous lie. Je le ferai aussi grâce à Serigne Touba».
«Concernant l’avenir de l’équipe, c’est une affaire de la fédération. Le passé, c’est-à-dire les onze ans pendant lesquelles j’ai marabouté l’équipe pour la priver de faire des résultats, c’est le passé. J’ai toujours prédit en annonçant d’avance le nombre de jour que l’équipe va passé pendant la Can, le temps de jeu, le nombre de tours de compétition et la manière dont l’équipe va perdre».
La paix des braves
«Avec la bénédiction de mes deux marabouts, j’ai pardonné l’équipe contre qui j’étais très fâché, depuis les quarts de finale de la Coupe du monde de 2002 contre la Turquie. Mes marabouts savent que je menais un combat pour la cause de Serigne Touba. Et j’en ai le plein droit».
«Les propos que je tiens n’engagent que moi. Je suis un talibé de Serigne Touba. J’ai vu qu’on a fait du mal à Serigne Touba et j’ai décidé de combattre ce mal. Et c’est Serigne Touba qui m’a donné les moyens de régler le problème».
«J’avais averti que tant qu’ils ne présentent pas leurs excuses, il y aura toujours la guerre. Voilà qu’ils ont présenté leurs excuses, je les ai pardonnés. Je tiens à faire savoir aux Sénégalais qu’il n’existe plus de problème avec l’équipe nationale. J’ai tout pardonné. Et que les gens comprennent qu’on ne peut pas faire la guerre à Serigne Touba. Celui qui s’y hasarde sera défait d’avance et humilié avec des bastonnades. Là où le Toubab a échoué, ce n’est pas aujourd’hui qu’un autre mortel va escompter une victoire contre Serigne Touba».
Aucune garantie contre la Côte d’Ivoire
«Mais à compter d’aujourd’hui, le contentieux est vidé. Et pour l’avenir, cela ne m’engage pas du tout. Les ‘Lions’, C’est moi qui les avais maraboutés, mais je les ai libérés du mauvais sort. Et je tiens à préciser que pour le match qu’ils vont jouer dans 72 heures, cela ne m’engage pas. Je ne suis nullement impliqué. Parce qu’il y a beaucoup de marabouts qui s’agitent partout au Sénégal. C’est facile à vérifier dans la presse. Je leur avais prévenu qu’ils peuvent ramasser tous les marabouts du monde, le résultat ne va pas suivre».
«Ils ont mis des milliards depuis le match contre la Turquie, en 2002. Toutes sortes de Serigne ont tant bouffé et construit autant de maisons. C’est la fin du contentieux, mais je ne suis pas impliqué pour la suite des événements».
«Concernant mon métier qui me fait vivre, quiconque veut collaborer avec moi, doit venir me voir. Je ne rends des services qu’à Serigne Touba. Mais pas pour l’équipe dont je ne suis pas sûr de bénéficier de sa gloire. Mais ce dont je suis sûr, c’est que l’équipe est bien libérée. Et j’insiste pour dire que je ne vais pas priver de sommeil pour les beaux yeux de l’équipe nationale».
La porte ouverte à la Fsf
«Si les fédéraux veulent collaborer avec moi, ils n’ont qu’à passer me voir comme ils le font pour les autres marabouts. Je veux que ça soit clair. Je suis un ‘Bay Fall’ qui dit clairement les choses. S’ils le demandent, le contentieux va finir, par la grâce de Serigne Touba. Le seul pour qui je dois me sacrifier. Autrement dit, personne ne mérite que je me sacrifie pour lui sans qu’il ne mette le prix à payer. Celui qui a besoin de mes services doit me dire comment il veut que je le fasse. Et je lui dirai comment il doit s’y prendre ».
«Je ne veux que les gens pensent que je veux m’enrichir sur le dos de l’équipe nationale. Si on me pose la question de savoir comment je dois procéder, je serai très à l’aise pour répondre. Mais qu’on ne me demande de faire une prédication sur le prochain match de l’équipe».
Le Populaire
«Avant de faire ma déclaration, je tiens à témoigner sur Gaston Mbengue, qui se trouve être un gentleman. Ce qu’il dit est sincère en lui. C’est un ami de longue date. Celui qui te voue du respect et de l’admiration mérite qu’on accorde une grande importance sur sa personne. Nous avons des relations qui dépassent son appartenance à la fédération. Je suis un homme de parole».
«Pour revenir à la cause qui nous unit ici, je dois avouer que j’ai dit sur l’équipe s’est toujours avéré. Maintenant l’avenir appartient au Bon Dieu. Nous sommes dans le cadre d’un conflit avec des gens qui ont offensé et imploré le pardon. Et s’il dirige une délégation pour présenter les excuses, je vais l’accepter au nom de ce qui nous lie. Je le ferai aussi grâce à Serigne Touba».
«Concernant l’avenir de l’équipe, c’est une affaire de la fédération. Le passé, c’est-à-dire les onze ans pendant lesquelles j’ai marabouté l’équipe pour la priver de faire des résultats, c’est le passé. J’ai toujours prédit en annonçant d’avance le nombre de jour que l’équipe va passé pendant la Can, le temps de jeu, le nombre de tours de compétition et la manière dont l’équipe va perdre».
La paix des braves
«Avec la bénédiction de mes deux marabouts, j’ai pardonné l’équipe contre qui j’étais très fâché, depuis les quarts de finale de la Coupe du monde de 2002 contre la Turquie. Mes marabouts savent que je menais un combat pour la cause de Serigne Touba. Et j’en ai le plein droit».
«Les propos que je tiens n’engagent que moi. Je suis un talibé de Serigne Touba. J’ai vu qu’on a fait du mal à Serigne Touba et j’ai décidé de combattre ce mal. Et c’est Serigne Touba qui m’a donné les moyens de régler le problème».
«J’avais averti que tant qu’ils ne présentent pas leurs excuses, il y aura toujours la guerre. Voilà qu’ils ont présenté leurs excuses, je les ai pardonnés. Je tiens à faire savoir aux Sénégalais qu’il n’existe plus de problème avec l’équipe nationale. J’ai tout pardonné. Et que les gens comprennent qu’on ne peut pas faire la guerre à Serigne Touba. Celui qui s’y hasarde sera défait d’avance et humilié avec des bastonnades. Là où le Toubab a échoué, ce n’est pas aujourd’hui qu’un autre mortel va escompter une victoire contre Serigne Touba».
Aucune garantie contre la Côte d’Ivoire
«Mais à compter d’aujourd’hui, le contentieux est vidé. Et pour l’avenir, cela ne m’engage pas du tout. Les ‘Lions’, C’est moi qui les avais maraboutés, mais je les ai libérés du mauvais sort. Et je tiens à préciser que pour le match qu’ils vont jouer dans 72 heures, cela ne m’engage pas. Je ne suis nullement impliqué. Parce qu’il y a beaucoup de marabouts qui s’agitent partout au Sénégal. C’est facile à vérifier dans la presse. Je leur avais prévenu qu’ils peuvent ramasser tous les marabouts du monde, le résultat ne va pas suivre».
«Ils ont mis des milliards depuis le match contre la Turquie, en 2002. Toutes sortes de Serigne ont tant bouffé et construit autant de maisons. C’est la fin du contentieux, mais je ne suis pas impliqué pour la suite des événements».
«Concernant mon métier qui me fait vivre, quiconque veut collaborer avec moi, doit venir me voir. Je ne rends des services qu’à Serigne Touba. Mais pas pour l’équipe dont je ne suis pas sûr de bénéficier de sa gloire. Mais ce dont je suis sûr, c’est que l’équipe est bien libérée. Et j’insiste pour dire que je ne vais pas priver de sommeil pour les beaux yeux de l’équipe nationale».
La porte ouverte à la Fsf
«Si les fédéraux veulent collaborer avec moi, ils n’ont qu’à passer me voir comme ils le font pour les autres marabouts. Je veux que ça soit clair. Je suis un ‘Bay Fall’ qui dit clairement les choses. S’ils le demandent, le contentieux va finir, par la grâce de Serigne Touba. Le seul pour qui je dois me sacrifier. Autrement dit, personne ne mérite que je me sacrifie pour lui sans qu’il ne mette le prix à payer. Celui qui a besoin de mes services doit me dire comment il veut que je le fasse. Et je lui dirai comment il doit s’y prendre ».
«Je ne veux que les gens pensent que je veux m’enrichir sur le dos de l’équipe nationale. Si on me pose la question de savoir comment je dois procéder, je serai très à l’aise pour répondre. Mais qu’on ne me demande de faire une prédication sur le prochain match de l’équipe».
Le Populaire
Accueil
Envoyer à un ami
Partager sur facebook
