Une source pénitentiaire, citée par L’Observateur, confie que, «dans l’aménagement des détentions, on ne voit pas quelque part où l’on peut torturer quelqu’un. Tout le personnel de l’administration est formaté à ce code de déontologie qui consiste à respecter les normes qui sont propres aux personnes placées sous la main de la justice». L'administration, très en colère, s’adresse à l’administrateur du site Dakaractu, estime que ce dernier « n’a qu’à apporter les preuves, s’il en détient. Et en plus, il connait la procédure à suivre ». « Nous sommes tous égaux devant la loi. Cheikh Yérim Seck est un détenu comme tous les autres. Il faut accepter de vivre cette situation telle qu’on l’a créée. Nous n’allons plus accepter qu’on se promène avec des portables dans les lieux de détention» a-t-elle fermement soutenu.
Cheikh Yérim Seck maltraité au Camp pénal, l’administration pénitentiaire nie et demande des preuvesMalgré le certificat médical brandi par Cheikh Yérim Seck, l’administration pénitentiaire continue de nier les faits que lui reproche le journaliste en détention au Camp pénal de Liberté 6.Rédigé par leral.net le Jeudi 28 Mars 2013 à 09:33 | | 2 commentaire(s)|
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