Deux choses concourent à la sauver de l'exécution. D'abord, sa victime a laissé des enfants mineurs dont le plus jeune a six ans. Et selon la législation saoudienne, quand une peine de mort est prononcée et que la victime a laissé des mineurs, il faut attendre leur majorité pour savoir s'ils vont pardonner ou non au coupable. . et puisque le dernier enfant n'est âgé que de six ans, Mbayang Diop devra attendre 9 ans dans le couloir de la mort, le temps que le cadet de sa défunte patronne atteigne l'âge de la majorité à savoir 15 ans pour savoir si elle sera pardonnée ou pas.
Deuxième chose qui concourt à sauver la Sénégalaise, le droit du sang. En Arabie Saoudite, quand quelqu'un est condamné à mort, il peut s'en tirer en payant le droit du sang quand il est fixé après discussion, par la famille de sa victime. Et dans le cas d'espèce, le chef de l'Etat est disposé à exploiter cette piste pour sauver Mbayang. Le président Macky Sall est ainsi prêt à se substituer à la famille de Mbayang pour entrer en contact avec la famille de la victime et discuter le prix du sang. Tout comme il est prêt à payer en conséquence s'il y a accord dans ce sens.
source: vox populli
Deuxième chose qui concourt à sauver la Sénégalaise, le droit du sang. En Arabie Saoudite, quand quelqu'un est condamné à mort, il peut s'en tirer en payant le droit du sang quand il est fixé après discussion, par la famille de sa victime. Et dans le cas d'espèce, le chef de l'Etat est disposé à exploiter cette piste pour sauver Mbayang. Le président Macky Sall est ainsi prêt à se substituer à la famille de Mbayang pour entrer en contact avec la famille de la victime et discuter le prix du sang. Tout comme il est prêt à payer en conséquence s'il y a accord dans ce sens.
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