La bataille pour le contrôle de la communauté Lébou est loin de connaitre son épilogue. Les partisans d'Abdoulaye Makhtar Diop et de ceux de Pape Ibrahima Diagne continuent de s’attaquer par presse interposée pour revendiquer ce titre qui aiguise bien des appétits.
Suite à la sortie des dignitaires lébous proches du camp d’Abdoulaye Makhtar Diop, disant que le Grand Serigne doit être un « Diop » comme cela se fait dans les confréries du Sénégal, la réplique du camp opposé ne s’est pas faite attendre. Le Conseil supérieur des grands dignitaires de la collectivité lébou proches de Pape Ibrahima Diagne qualifie ces propos d’amalgame. « Ce discours est un amalgame indigeste entre confréries religieuses et communautés coutumières », explique-t-il dans les colonnes d'EnQuête.
Dénonçant ce qu’il appelle « des manœuvres malsaines », il soutient que la thèse exclusiviste est dangereuse pour la stabilité et la cohésion de la Collectivité lébou où certains discours irresponsables rappellent le douloureux syndrome rwandais, entre Hutus et Tutsis. Pour eux, la transmission héréditaire du pouvoir est révolue.
Suite à la sortie des dignitaires lébous proches du camp d’Abdoulaye Makhtar Diop, disant que le Grand Serigne doit être un « Diop » comme cela se fait dans les confréries du Sénégal, la réplique du camp opposé ne s’est pas faite attendre. Le Conseil supérieur des grands dignitaires de la collectivité lébou proches de Pape Ibrahima Diagne qualifie ces propos d’amalgame. « Ce discours est un amalgame indigeste entre confréries religieuses et communautés coutumières », explique-t-il dans les colonnes d'EnQuête.
Dénonçant ce qu’il appelle « des manœuvres malsaines », il soutient que la thèse exclusiviste est dangereuse pour la stabilité et la cohésion de la Collectivité lébou où certains discours irresponsables rappellent le douloureux syndrome rwandais, entre Hutus et Tutsis. Pour eux, la transmission héréditaire du pouvoir est révolue.