Selon, Baidy Agne, représentant de l’ancienne maire de Diourbel et Présidente en exercice de l'Ucesa, « la mobilisation est même allée au delà des pays membres de l'Ucesa ». Pour lui, la rencontre du 01 juillet 2015, tenue au Sénégal et co-organisée avec l'Union des conseils économiques et sociaux et institutions similaires francophones (Ucesif), avait un grand échos sur le continent. D’ailleurs, dit-il, la déclaration de Dakar, qui en est issue, a été un précieux outil de plaidoyer du président de la République du Sénégal, Macky Sall, a qui, elle a été remise auprès de ses pairs de l'Uemoa, de la Cedeao, de l'Ue et récemment aux Nations unies.
Par ailleurs, lors de cette conférence internationale de Paris, M. Agne a été interpellé sur la question de l'adaptation du Sénégal sur le changement climatique, il a indiqué que, « sous l'égide du ministère de l'Environnement et du Développement durable, la contribution prévue déterminée au niveau national (Cpdn) du Sénégal, en collaboration avec une équipe d'experts appuyée avec les Ptf sur la base d'un processus participatif, a fait une évaluation rigoureuse de la situation environnementale permettant d'identifier, sur les volets d'atténuation et d'adaptation, les secteurs portant de façon prioritaire les outils de maîtrise des impacts du changement climatique. Ainsi, estime-t-il, « le besoin de financement est chiffré à 21,6 milliards de dollars dont 06,8 milliards pour l'adaptation ».
La conférence internationale de Paris a réuni plusieurs personnalités parmi les quelles Laurent Fabus, ministre des Affaires étrangères de France, la Secrétaire d'Etat au Développement et à la Francophonie et le ministre marocain de l'Environnement, entre autres.
Fara Mendy
Par ailleurs, lors de cette conférence internationale de Paris, M. Agne a été interpellé sur la question de l'adaptation du Sénégal sur le changement climatique, il a indiqué que, « sous l'égide du ministère de l'Environnement et du Développement durable, la contribution prévue déterminée au niveau national (Cpdn) du Sénégal, en collaboration avec une équipe d'experts appuyée avec les Ptf sur la base d'un processus participatif, a fait une évaluation rigoureuse de la situation environnementale permettant d'identifier, sur les volets d'atténuation et d'adaptation, les secteurs portant de façon prioritaire les outils de maîtrise des impacts du changement climatique. Ainsi, estime-t-il, « le besoin de financement est chiffré à 21,6 milliards de dollars dont 06,8 milliards pour l'adaptation ».
La conférence internationale de Paris a réuni plusieurs personnalités parmi les quelles Laurent Fabus, ministre des Affaires étrangères de France, la Secrétaire d'Etat au Développement et à la Francophonie et le ministre marocain de l'Environnement, entre autres.
Fara Mendy