débris d'un avion militaire guinéen-Photo d'archives
Une enquête a été ouverte par les autorités guinéennes, sur le crash de l’ULM TETRAS le mercredi 5 octobre 2016, à l’aéroport International de Conakry, tuant les deux militaires à bord. Les investigations sont menées par le Procureur de la République, a appris Africaguinee.com de sources militaires.
« Les enquêtes sont ouvertes. Elles sont au niveau du Procureur de la République. Nous attendons ses conclusions », nous a confié une source proche de l’Etat-major général des armées.
Un avion militaire de l’Etat- Major de l’Armée de l’Air s’est écrasé mercredi à Conakry au cours d’un exercice faisant deux morts. Le lieutenant Laye Mara, âgé d’une trentaine d’années, pilote à l’Etat -Major de l’Armée de l’Air et le lieutenant-colonel Patrick VALOT, conseiller Français et Instructeur pilote auprès du Chef d’Etat-major de l’Armée de l’Air, ont tous péri dans le crash.
Les officiers de police judiciaire ont effectué un transport judiciaire sur les lieux du crash, nous apprend-on. Pour l’heure, les corps des deux victimes sont à la disposition du Parquet.
« Nous attendons qu’il (le Procureur, ndlr) nous remette les corps pour prendre des dispositions de rapatriement de l’expatrié. Ensuite préparer l’enterrement de l’autre », précise notre source.
A suivre…
africaguinée.com
« Les enquêtes sont ouvertes. Elles sont au niveau du Procureur de la République. Nous attendons ses conclusions », nous a confié une source proche de l’Etat-major général des armées.
Un avion militaire de l’Etat- Major de l’Armée de l’Air s’est écrasé mercredi à Conakry au cours d’un exercice faisant deux morts. Le lieutenant Laye Mara, âgé d’une trentaine d’années, pilote à l’Etat -Major de l’Armée de l’Air et le lieutenant-colonel Patrick VALOT, conseiller Français et Instructeur pilote auprès du Chef d’Etat-major de l’Armée de l’Air, ont tous péri dans le crash.
Les officiers de police judiciaire ont effectué un transport judiciaire sur les lieux du crash, nous apprend-on. Pour l’heure, les corps des deux victimes sont à la disposition du Parquet.
« Nous attendons qu’il (le Procureur, ndlr) nous remette les corps pour prendre des dispositions de rapatriement de l’expatrié. Ensuite préparer l’enterrement de l’autre », précise notre source.
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