Les événements de samedi, à la Maison du Parti socialiste, augurent de lendemains incertains pour cette formation politique. Il faut avouer et constater que Tanor et Khalifa Sall ont jusqu’ici étouffé leurs divergences qui se manifestent avec « pro-Khalifa Sall » et « pro-Tanor ». Dans tous les cas, le secrétaire général du Ps et le secrétaire en charge de la vie politique ont pendant longtemps aiguisé leurs seconds couteaux. Cette stratégie de pourrissement est aussi un pourrissement stratégique pour les deux camps.
C’est que dans cette guerre, il n’y a pas de place pour les intérêts pour les initiés. Pour les amateurs. C’est de la « haute politique », comme le théorise Abdoulaye Wade. Celle des coups bas, de la ruse. N’y survivront que ceux qui auront la carapace politique. Tanor a survécu aux barrons Djibo Kâ, Mousatapha Niasse au pouvoir, Mamadou Diop, Robert Sagna et Cie dans l’opposition. Tous n’ont pu empêcher ce que refuse aujourd’hui Khalifa Sall : « la « Tanorisation » du Ps ». Le secrétaire général ne lésinera pas sur les moyens pour faire payer à Khalifa Sall cet affront. Et ces affrontements l’ont humilié, lui et ses hommes de confiance comme Serigne Mbaye Thiam et Mamoudou Wane. « Ceux qui sont derrière cette provocation le paieront », a-t-il menacé, avant le communiqué du Bureau politique qui indexe des « nervis recrutés par des responsables du parti ». L’on annonce déjà une plainte contre les animateurs de la chaude journée du 5 mars. Mais qui sont d’ailleurs les commanditaires visés par les « suites judiciaires et politiques » ? Quand la résolution finale accuse ces mêmes « responsables qui ont constaté, une tendance démocratique nette et claire en faveur du « Oui », elle suggère un clin d’œil du côté des « Khalifistes ». Quand le couperet tombera sur les hommes du Khalifa, il faudra penser à un autre Ps.
C’est que dans cette guerre, il n’y a pas de place pour les intérêts pour les initiés. Pour les amateurs. C’est de la « haute politique », comme le théorise Abdoulaye Wade. Celle des coups bas, de la ruse. N’y survivront que ceux qui auront la carapace politique. Tanor a survécu aux barrons Djibo Kâ, Mousatapha Niasse au pouvoir, Mamadou Diop, Robert Sagna et Cie dans l’opposition. Tous n’ont pu empêcher ce que refuse aujourd’hui Khalifa Sall : « la « Tanorisation » du Ps ». Le secrétaire général ne lésinera pas sur les moyens pour faire payer à Khalifa Sall cet affront. Et ces affrontements l’ont humilié, lui et ses hommes de confiance comme Serigne Mbaye Thiam et Mamoudou Wane. « Ceux qui sont derrière cette provocation le paieront », a-t-il menacé, avant le communiqué du Bureau politique qui indexe des « nervis recrutés par des responsables du parti ». L’on annonce déjà une plainte contre les animateurs de la chaude journée du 5 mars. Mais qui sont d’ailleurs les commanditaires visés par les « suites judiciaires et politiques » ? Quand la résolution finale accuse ces mêmes « responsables qui ont constaté, une tendance démocratique nette et claire en faveur du « Oui », elle suggère un clin d’œil du côté des « Khalifistes ». Quand le couperet tombera sur les hommes du Khalifa, il faudra penser à un autre Ps.