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Crise scolaire: Le « Rewmi » demande la levée du mot d’ordre

La menace qui pèse sur l’année scolaire ne rassure guère le collectif des enseignants du parti d’Idrissa Seck. Les enseignants de « Rewmi », selon le journal Le Populaire, a décidé d’intervenir pour demander à leurs collègues d'enterrer la hache de guerre.


Rédigé par leral.net le Vendredi 21 Juin 2013 à 12:46 | | 2 commentaire(s)|

Crise scolaire: Le « Rewmi » demande la levée du mot d’ordre
Face à la presse hier, ces enseignants ont déclaré qu’ils ne sont pas d’accord avec leurs camarades regroupés au sein du Grand cadre qui est en phase de dérouler son 4e plan d’action, menaçant ainsi le déroulement normal des examens de fin d’année. « Nous appelons nos collègues à lever le mot d’ordre de grève pour l’intérêt supérieur de la Nation afin que l’année scolaire se termine comme elle avait commencé », a lancé Thierno Ndao, Secrétaire général dudit mouvement.



1.Posté par le citoyen le 21/06/2013 16:43 | Alerter
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La sortie du chef de l’Etat au Gabon assimilée à «une déclaration de guerre» continue de susciter la colère des enseignants. La secrétaire générale du Syndicat des professeurs du Sénégal (Sypros) a vivement fustigé un tel discours qui plombe tout dialogue et ouvre la voie à une confrontation stérile.

C’est une Marième Sakho Dansokho très dépitée qui démolit l’argument avancé par le chef de l’Etat. La secrétaire générale du Sypros tient, en effet, un autre discours. «Il est regrettable que le président de la République invoque un manque de moyens pour la mise en œuvre des accords et des revendications», balance-t-elle.

«Quand il s’agit de faire des nominations basées sur aucun critère objectif, de créer une indemnité pour des députés qui ont un salaire considérable et de leur payer des véhicules dont le coût avoisine 15 ans de salaire d’un enseignant, de mettre en place contre vents et marées des institutions pour recaser des politiciens, d’organiser des rencontres partisanes avec l’argent du contribuable, en ce moment il y a des moyens. Mais, quand il s’agit de mettre les enseignants dans leurs droits il n’y a plus de moyens», se désole la responsable nationale du Sypros.

Mme Sakho de conclure que «c’est quand il s’agit des enseignants et de l’école qu’on pose le manque de moyens». Elle souligne que les enseignants sont contraints de brandir la hache de guerre car «leur volonté d’apaisement, matérialisée par une tournée de leurs délégués auprès des porteurs de voix, se heurte au refus de dialogue des autorités qui se sont braquées derrière une position tranchée et se lancent dans une campagne de stigmatisation et de diabolisation».

Très remontée contre l’attitude du chef de l’Etat, la secrétaire générale du Sypros relève que «cette fusillade a été un choc» vis-à-vis d’une plateforme réduite à 11 points. «C’est pour mettre l’accent sur des points qui marquent l’équité et la justice et qui sont les bases de la performance de notre système», souligne la syndicaliste.

2.Posté par borome gualem gui le 21/06/2013 19:31 | Alerter
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idypresident,je vous conseille d aller a nimjatt ziara mame cheikhna cheikh saadbou khertou avant 2017,allahou Akbar.

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