Depuis quelques temps des révélations sur des démêlés avec la justice circulent dans la presse. Quelqu’un serait-il derrière ces attaques incessantes ? Dès le lendemain de sa nomination, les premières spéculations sur cette affaire qui l’oppose au guinéen Baba Diakité circulaient déjà sur le net. Une information qui est posté par un commentateur d’un article sur M. Mbaye. Ce qui pose la thèse d’un certain lobby affairiste serait derrière ces assauts médiatiques contre le fils Kéba Mbaye.
Si les détracteurs du P.M tentent une démonstration en s’appuyant sur le discours du président Macky Sall la veille de l’indépendance dans lequel il affirme « Je ne protégerai personne ». Une affirmation qui fait dire aux affabulateurs qu’un premier ministre qui a une affaire pendante en justice n’a pas sa place dans le gouvernement. Et pourtant la sortie des avocats de ce dernier, soutiennent que ce n’est pas la personne d’Abdoul Mbaye qui est mêlé à cette affaire de faux en écriture privée de banque et d’escroquerie. Mais plutôt la responsabilité juridique qu’il représentait en sa qualité de directeur général de la Bst d’alors. Donc, il doit répondre des actions posées par sa banque.
Une réponse qui ne suffit aux rivales du P.M qui semble-t-il veulent pousser l’opinion à réclamer la démission de M.Mbaye. Mais la vrai question sur cette lynchage médiatique contre Abdoul Mbaye est ces antagonistes en veulent-il à la personne de M.Mbaye ou au président de république qui a porté son choix sur cette personnalité « apolitique » ? Une question qui tire sa pertinence car on sait en politique comme en guerre tous les armes pour arriver à ses fins n’est pas exclu. Alors qu’une bande de jaloux politiques qui visaient le fauteuil de premier ministre de cette ère « mackiste » n’est pas à exclure guerre qui vise la démission du premier ministre.
Christine Mendy
Si les détracteurs du P.M tentent une démonstration en s’appuyant sur le discours du président Macky Sall la veille de l’indépendance dans lequel il affirme « Je ne protégerai personne ». Une affirmation qui fait dire aux affabulateurs qu’un premier ministre qui a une affaire pendante en justice n’a pas sa place dans le gouvernement. Et pourtant la sortie des avocats de ce dernier, soutiennent que ce n’est pas la personne d’Abdoul Mbaye qui est mêlé à cette affaire de faux en écriture privée de banque et d’escroquerie. Mais plutôt la responsabilité juridique qu’il représentait en sa qualité de directeur général de la Bst d’alors. Donc, il doit répondre des actions posées par sa banque.
Une réponse qui ne suffit aux rivales du P.M qui semble-t-il veulent pousser l’opinion à réclamer la démission de M.Mbaye. Mais la vrai question sur cette lynchage médiatique contre Abdoul Mbaye est ces antagonistes en veulent-il à la personne de M.Mbaye ou au président de république qui a porté son choix sur cette personnalité « apolitique » ? Une question qui tire sa pertinence car on sait en politique comme en guerre tous les armes pour arriver à ses fins n’est pas exclu. Alors qu’une bande de jaloux politiques qui visaient le fauteuil de premier ministre de cette ère « mackiste » n’est pas à exclure guerre qui vise la démission du premier ministre.
Christine Mendy