‘’Il y a la mouche de fruits qui fait des ravages. On a aussi un problème d’eau, c’est-à-dire l’irrigation. C’est un grand problème parce que ça diminue la durée de vie de la mangue et baisse la productivité’’, a-t-il expliqué.
M. Diakhaté échangeait, lundi, avec des journalistes en marge de la visite effectuée dans sa localité par Dr Malick Diop, directeur général de l’Agence sénégalaise de promotion des exportations (ASEPEX).
Selon lui, la présence de la mouche de mangues, le problème d’irrigation et le manque de centres de transformation et de conditionnement des produits sur place doivent être examinés.
‘’Ce sont des choses qu’il faut voir. Il faut avoir sur place des centres de transformation et de conditionnement. La transformation va nous permettre de faire des jus et des mangues séchées’’, a t –il souligné.
Le DG de l’ASEPEX a visité ces zones des Niayes pour ‘’s’enquérir du déroulement de la campagne d’exportation 2013, mais surtout pour encourager les producteurs à maintenir le cap afin de faire de cette campagne, une des meilleures en termes de résultat à l’exportation’’.
‘’Le plus important pour nous, ce n’est pas de vérifier si tout va bien, on est là surtout pour identifier les différents problèmes voir comment les régler’’, a déclaré Dr Diop.
‘’Ce qui est aussi important, c’est de savoir que les producteurs sont un maillon très, très important de la chaîne de valeur et que nous devons les accompagner pour avoir de la qualité’’ a-t-il assuré.
La coopérative des producteurs des fruits et légumes de Keur Mbir est composée de plus de 520 adhérents. Elle polarise 13 villages des communautés rurales de Notto Gouye Diama, Taïba Mbaye et Montroland.
SG/OID
M. Diakhaté échangeait, lundi, avec des journalistes en marge de la visite effectuée dans sa localité par Dr Malick Diop, directeur général de l’Agence sénégalaise de promotion des exportations (ASEPEX).
Selon lui, la présence de la mouche de mangues, le problème d’irrigation et le manque de centres de transformation et de conditionnement des produits sur place doivent être examinés.
‘’Ce sont des choses qu’il faut voir. Il faut avoir sur place des centres de transformation et de conditionnement. La transformation va nous permettre de faire des jus et des mangues séchées’’, a t –il souligné.
Le DG de l’ASEPEX a visité ces zones des Niayes pour ‘’s’enquérir du déroulement de la campagne d’exportation 2013, mais surtout pour encourager les producteurs à maintenir le cap afin de faire de cette campagne, une des meilleures en termes de résultat à l’exportation’’.
‘’Le plus important pour nous, ce n’est pas de vérifier si tout va bien, on est là surtout pour identifier les différents problèmes voir comment les régler’’, a déclaré Dr Diop.
‘’Ce qui est aussi important, c’est de savoir que les producteurs sont un maillon très, très important de la chaîne de valeur et que nous devons les accompagner pour avoir de la qualité’’ a-t-il assuré.
La coopérative des producteurs des fruits et légumes de Keur Mbir est composée de plus de 520 adhérents. Elle polarise 13 villages des communautés rurales de Notto Gouye Diama, Taïba Mbaye et Montroland.
SG/OID