Le marabout Niasse réagissait à la demande de prières pour la paix formulée par le gouverneur Amadou Sy, dans le cadre de la célébration du Maouloud commémorant l'anniversaire de la naissance du Prophète Mohammed (PSL).
Selon lui, "il n'y aura pas de crise islamiste semblable à celle que vit actuellement le Mali parce que nos ancêtres érudits ont protégé le pays à travers leurs prières".
Le guide religieux a appelé à trois reprises décideurs politiques et autorités militaires à "dormir tranquilles" parce que, selon lui, les érudits ont fini de tracer la voie de la justice, de la sérénité, etc. et de mettre le pays en dehors de tout agissement relevant de l'extrémisme religieux comme cela se passe au Mali.
Le khalife de Léona Niassène a demandé aux autorités d'aider à carreler la mosquée de la cité de Mame Abdoulaye Niasse et a soutenu que toutes les questions soulevées lors du comité régional de développement (CRD) préparatif du Gamou ont trouvé des solutions.
Les mêmes prières pour le rétablissement de la paix au Mali et en Casamance ont été aussi formulées par l'imam ratib de la grande mosquée de Kaolack et Khalife de la famille Kanène, Pape Souleymane Kane.
"Les familles religieuses ont forcément leurs yeux rivés sur ce qui se passe au Mali parce que les deux pays ne font qu'un'', a dit Pape Soulèye Kane. Par conséquent, les guides religieux "n'hésiteront pas à dénoncer toute personne suspecte, tout islamiste qui se présenterait devant nous", a-t-il ajouté.
"Le Gamou est votre, parce que vous avez amené riz, bâches, électricité, etc.", a ensuite déclaré le marabout à l'endroit des autorités administratives et politiques.
Le guide religieux de Touba Ndorong, Cheikh Issakha Mbacké a, pour sa part, souligné que "les jihadistes qui sévissent actuellement au Mali auraient certainement préféré atteindre le sol sénégalais. Mais c'est impossible parce que le Sénégal est suffisamment bien protégé par ses érudits".
L'entente et la cordialité entre les citoyens sénégalais de confessions différentes font également qu'il est difficile de mener des actions religieuses non orthodoxes, a indiqué Cheikh Issakha Mbacké, avant de prier pour le retour de la paix au Mali et en Casamance.
Pour sa part, le chef religieux Mame Thierno Dème de Kasaville a, quant à lui, souligné que si chacun faisait ce qu'il a à faire, le monde ne connaîtrait aucune difficulté et les fidèles vivraient leur croyance sans problème ni heurts.
Le marabout a aussi demandé au chef de l'Etat Macky Sall de "répondre aux nombreuses attentes des populations, de n'avoir peur de rien, de ne point reculer dans son ambition d'améliorer les conditions d'existence des Sénégalais".
Dans chacune de ses familles religieuses visitées en compagnie d'une délégation comprenant, entre autres, le préfet Baye Oumy Guèye et le directeur général de l'APS, Thierno Birahim Fall, le gouverneur Amadou Sy a sollicité des prières pour une paix durable en Casamance et au Mali en proie à une guerre dont l'issue demeure selon lui incertaine.
M. Sy a également demandé aux guides religieux de renforcer la sensibilisation des fidèles sur les méfaits des intégristes musulmans notamment dans un Sénégal qui n'a "plus rien à attendre de qui que ce soit sur la religion parce que suffisamment outillé par les érudits".
Selon lui, "il n'y aura pas de crise islamiste semblable à celle que vit actuellement le Mali parce que nos ancêtres érudits ont protégé le pays à travers leurs prières".
Le guide religieux a appelé à trois reprises décideurs politiques et autorités militaires à "dormir tranquilles" parce que, selon lui, les érudits ont fini de tracer la voie de la justice, de la sérénité, etc. et de mettre le pays en dehors de tout agissement relevant de l'extrémisme religieux comme cela se passe au Mali.
Le khalife de Léona Niassène a demandé aux autorités d'aider à carreler la mosquée de la cité de Mame Abdoulaye Niasse et a soutenu que toutes les questions soulevées lors du comité régional de développement (CRD) préparatif du Gamou ont trouvé des solutions.
Les mêmes prières pour le rétablissement de la paix au Mali et en Casamance ont été aussi formulées par l'imam ratib de la grande mosquée de Kaolack et Khalife de la famille Kanène, Pape Souleymane Kane.
"Les familles religieuses ont forcément leurs yeux rivés sur ce qui se passe au Mali parce que les deux pays ne font qu'un'', a dit Pape Soulèye Kane. Par conséquent, les guides religieux "n'hésiteront pas à dénoncer toute personne suspecte, tout islamiste qui se présenterait devant nous", a-t-il ajouté.
"Le Gamou est votre, parce que vous avez amené riz, bâches, électricité, etc.", a ensuite déclaré le marabout à l'endroit des autorités administratives et politiques.
Le guide religieux de Touba Ndorong, Cheikh Issakha Mbacké a, pour sa part, souligné que "les jihadistes qui sévissent actuellement au Mali auraient certainement préféré atteindre le sol sénégalais. Mais c'est impossible parce que le Sénégal est suffisamment bien protégé par ses érudits".
L'entente et la cordialité entre les citoyens sénégalais de confessions différentes font également qu'il est difficile de mener des actions religieuses non orthodoxes, a indiqué Cheikh Issakha Mbacké, avant de prier pour le retour de la paix au Mali et en Casamance.
Pour sa part, le chef religieux Mame Thierno Dème de Kasaville a, quant à lui, souligné que si chacun faisait ce qu'il a à faire, le monde ne connaîtrait aucune difficulté et les fidèles vivraient leur croyance sans problème ni heurts.
Le marabout a aussi demandé au chef de l'Etat Macky Sall de "répondre aux nombreuses attentes des populations, de n'avoir peur de rien, de ne point reculer dans son ambition d'améliorer les conditions d'existence des Sénégalais".
Dans chacune de ses familles religieuses visitées en compagnie d'une délégation comprenant, entre autres, le préfet Baye Oumy Guèye et le directeur général de l'APS, Thierno Birahim Fall, le gouverneur Amadou Sy a sollicité des prières pour une paix durable en Casamance et au Mali en proie à une guerre dont l'issue demeure selon lui incertaine.
M. Sy a également demandé aux guides religieux de renforcer la sensibilisation des fidèles sur les méfaits des intégristes musulmans notamment dans un Sénégal qui n'a "plus rien à attendre de qui que ce soit sur la religion parce que suffisamment outillé par les érudits".
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