Suite à la décision du ministre de la Gouvernance locale, du Développement et de l’Aménagement du territoire de mettre fin au mandat d’Aida Mbodj en tant que présidente du Conseil départemental de Bambey, le Parti démocratique sénégalais est monté au créneau pour fustiger ce qu’il considère comme « une volonté manifeste de museler les responsables du parti qui résistent aux chantages multiformes et rejettent toute idée de transhumance ».
Le Parti démocratique sénégalais prend à témoin l’opinion tant nationale qu’internationale et tient à l’informer qu'Aissatou Mbodj, qui n’a jamais siégé au Conseil municipal de Bambey, a déposé sa lettre de démission auprès du maire de la commune qui a en informé le préfet de Bambey à bonne date. Donc, aucune rigueur ne saurait lui être appliquée si l’autorité chargée de donner suite à cette décision en procédant à son remplacement n’a pas estimé devoir faire son travail conformément à la loi.
Par conséquent, Oumar Sarr et ses camarades condamnent, dans un communiqué parvenu à la rédaction, « avec toute l’énergie requise cet acharnement politique contre leurs principaux responsables et apportent leur soutien total à Aissatou Mbodj très engagée et déterminée à mener un combat de légitimité, de dignité et de sauvegarde des acquis démocratiques ». Ces derniers demandent « à tous les responsables militantes et militants du parti de se mobiliser pour barrer la route à la tyrannie et à un pouvoir qui ne procède que par violence et qui a décidé de transformer notre démocratie en un système de terreur et d’autorité pour masquer son incurie ».
Mariama Kobar Saleh
Le Parti démocratique sénégalais prend à témoin l’opinion tant nationale qu’internationale et tient à l’informer qu'Aissatou Mbodj, qui n’a jamais siégé au Conseil municipal de Bambey, a déposé sa lettre de démission auprès du maire de la commune qui a en informé le préfet de Bambey à bonne date. Donc, aucune rigueur ne saurait lui être appliquée si l’autorité chargée de donner suite à cette décision en procédant à son remplacement n’a pas estimé devoir faire son travail conformément à la loi.
Par conséquent, Oumar Sarr et ses camarades condamnent, dans un communiqué parvenu à la rédaction, « avec toute l’énergie requise cet acharnement politique contre leurs principaux responsables et apportent leur soutien total à Aissatou Mbodj très engagée et déterminée à mener un combat de légitimité, de dignité et de sauvegarde des acquis démocratiques ». Ces derniers demandent « à tous les responsables militantes et militants du parti de se mobiliser pour barrer la route à la tyrannie et à un pouvoir qui ne procède que par violence et qui a décidé de transformer notre démocratie en un système de terreur et d’autorité pour masquer son incurie ».
Mariama Kobar Saleh
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