Des sources proches de l’entourage du député-maire, Barthelemy Dias, renseignent que ce dernier est en train de trouver des voies et moyens pour que l’affaire des panneaux publicitaires soit réglée à l’amiable. « Il est conscient d’avoir commis une erreur en procédant à la destruction des panneaux publicitaires et il cherche coûte que coûte à négocier avec les acteurs pour une solution à l’amiable », indique un proche de Dias-fils dans les colonnes de La Tribune. De leur côté, les acteurs de l’Association des professionnels des régies publicitaires qu’une gestion de cette affaire à l’amiable n’est pas à l’ordre du jour. « Pour le moment, nous nous focalisons sur la procédure judiciaire que nous avons enclenchée pour que le droit soit dit dans cette affaire », a soutenu Me Moussa Sarr, avocat des professionnels.
Toutefois, ces derniers disent qu’ils vont inviter le gouvernement à servir d’arbitre au cas où une négociation se présente. « Les annonceurs sont déçus tout autant que les publicistes avec lesquels ils ont signé des contrats et qui ont vu leurs affiches à terre alors qu’ils ont déjà payé et ont des objectifs marketing bien déterminés. Maintenant, si on doit régler cette affaire à l’amiable, ce sera sous l’arbitrage du gouvernement. Même dans ce cas, il faudra que la mairie paie intégralement pour les biens détruits et qui ont été évalués à près d’un milliard de francs », a encore dit Me Sarr.
Toutefois, ces derniers disent qu’ils vont inviter le gouvernement à servir d’arbitre au cas où une négociation se présente. « Les annonceurs sont déçus tout autant que les publicistes avec lesquels ils ont signé des contrats et qui ont vu leurs affiches à terre alors qu’ils ont déjà payé et ont des objectifs marketing bien déterminés. Maintenant, si on doit régler cette affaire à l’amiable, ce sera sous l’arbitrage du gouvernement. Même dans ce cas, il faudra que la mairie paie intégralement pour les biens détruits et qui ont été évalués à près d’un milliard de francs », a encore dit Me Sarr.