Il n’y a pas d’autre solution pour l’opposition que d’avoir une liste commune aux législatives ? C’est la conviction de Déthié Fall qui était en tournée dans le département de Fatick. « L’unité de l’opposition est aujourd’hui, une demande sociale », a dit le vice-président de Rewmi, qui a peint un tableau noir de la situation du monde rural.
« La seule solution pour sortir le monde rural de ses difficultés est de bouter Macky Sall hors du pouvoir en lui imposant d’abord une cohabitation au soir des élections législatives du 30 juillet prochain, afin de pouvoir engager les reformes allant dans le sens de la prise en charge correcte des problèmes auxquels les populations font face », indique-t-il.
Pour le camarade d’Idrissa Seck, d’une éventuelle majorité de l’opposition dépendrait l’élection présidentielle. « Après les législatives, où on va, si le Tout-Puissant nous prête longue vie, vers une élection présidentielle en 2019, et ce sera le moment de faire prévaloir une expression populaire comme cela se dessine aujourd’hui pour son (Macky Sall) départ. Il n’y a plus de doute dans la tête des Sénégalais », parie-t-il.
Le numéro 2 de Rewmi confirme, en ce sens, le rapprochement entre son leader et l’ancien Président,Me Abdoulaye Wade et son fils, Karim Wade. Et alors que la problématique de la tête de liste est agitée, il estime que dans le cadre du processus de mise en place d’une vaste coalition de l’opposition, « c’est plutôt le projet d’une prise en charge correcte des préoccupations des Sénégalais qui est mis en avant plutôt que les personnes qui seront choisies pour diriger telle ou telle autre liste ».
Depuis quelques semaines ; les partis membres de Manko wattu Senegaal se concertent pour monter une liste commune dans l’espoir d’imposer au régime de Macky Sall, une cohabitation.
Le Quotidien
« La seule solution pour sortir le monde rural de ses difficultés est de bouter Macky Sall hors du pouvoir en lui imposant d’abord une cohabitation au soir des élections législatives du 30 juillet prochain, afin de pouvoir engager les reformes allant dans le sens de la prise en charge correcte des problèmes auxquels les populations font face », indique-t-il.
Pour le camarade d’Idrissa Seck, d’une éventuelle majorité de l’opposition dépendrait l’élection présidentielle. « Après les législatives, où on va, si le Tout-Puissant nous prête longue vie, vers une élection présidentielle en 2019, et ce sera le moment de faire prévaloir une expression populaire comme cela se dessine aujourd’hui pour son (Macky Sall) départ. Il n’y a plus de doute dans la tête des Sénégalais », parie-t-il.
Le numéro 2 de Rewmi confirme, en ce sens, le rapprochement entre son leader et l’ancien Président,Me Abdoulaye Wade et son fils, Karim Wade. Et alors que la problématique de la tête de liste est agitée, il estime que dans le cadre du processus de mise en place d’une vaste coalition de l’opposition, « c’est plutôt le projet d’une prise en charge correcte des préoccupations des Sénégalais qui est mis en avant plutôt que les personnes qui seront choisies pour diriger telle ou telle autre liste ».
Depuis quelques semaines ; les partis membres de Manko wattu Senegaal se concertent pour monter une liste commune dans l’espoir d’imposer au régime de Macky Sall, une cohabitation.
Le Quotidien