En 2015, alors candidat à sa réélection, le président Teodoro Obiang Nguema avait annoncé la tenue prochaine d'un référendum sur la peine de mort.
A l'époque, le chef de l'Etat avait dit être "soumis à une pression internationale pour abolir la peine de mort"mais qu'il appartenait au "peuple de décider".
Le référendum n'a pas eu lieu
Le Portugal avait conditionné l'abolition de la peine de mort, à l'intégration de Guinée équatoriale à la Communauté des pays de langue portugaise (CPLP), en 2014.
En 2010, quatre personnes jugées pour l'attaque du palais présidentiel en février 2009, avaient été condamnées à mort.
Avec AFP