On dirait que vous n’êtes pas contre les retrouvailles de la grande famille libérale prônées dernièrement par l’ancien Président Wade …
Je ne sais pas ce que c’est « retrouvailles de la famille libérale » et comme je ne suis pas libéral, je ne peux pas me prononcer sur cela.
En substance, Wade veut tout simplement que Macky Sall et ses anciens camarades du Pds fument le calumet de la paix afin de travailler ensemble …
Il y a certaines personnes du Pds que j’appelle, moi, les bastions démocratiques. Vous savez, ce que beaucoup de gens n’ont pas compris, c’est que, y compris pendant le second tour, il y avait des bastions démocratiques au sein du Pds qui, par cohérence, sont allés avec Wade et qui sont retournés au second tour pour aller avec le Président Macky Sall parce que, justement, pour eux, le premier tour, c’était une sorte de primaire. Ce sont des gens qui s’étaient engagés de façon tout à fait militante, par conviction, mais qui ont basculé dans le camp du changement. Et je pense qu’on n’en a pas suffisamment parlé. Si ces forces vives sont aujourd’hui dans la disposition de travailler au renforcement de la dynamique victorieuse du 25 mars, au nom de quoi le Président Macky Sall ne leur dirait pas de venir ?
Donc vous encouragez la transhumance ?
Cela n’a rien à voir avec la transhumance. Je pense que les bastions démocratiques qui étaient au Pds, qui sont composés de forces vives, qui ne sont pas mêlés à des scandales politico-financiers, qui acceptent le projet que le Président Macky Sall a proposé aux Sénégalais, sont forcément les bienvenues.
Vous pensez à qui exactement ? Peut-on avoir des noms ?
Non ! Ce n’est pas une question de noms. Bon c’est vrai que vous, les journalistes, vous aimez le sensationnel (rires) mais ce n’est pas une question de noms. C’est une question de courant, de sensibilité, de vision, une question de perspective politique. Les bastions démocratiques peuvent être définis comme des mouvements vastes au sein d’un parti ou d’un camp, qui s’inscrivent dans une perspective démocratique et qui, par conséquent, peuvent être considérés comme des alliés stratégiques dans une séquence bien déterminée de l’histoire. Et aujourd’hui, il y a des bastions démocratiques à l’intérieur du Pds et je pense qu’ils devraient se mobiliser avec les forces victorieuses du 25 mars. Ce serait tout bénef pour notre pays.
( Le quotidien)
Je ne sais pas ce que c’est « retrouvailles de la famille libérale » et comme je ne suis pas libéral, je ne peux pas me prononcer sur cela.
En substance, Wade veut tout simplement que Macky Sall et ses anciens camarades du Pds fument le calumet de la paix afin de travailler ensemble …
Il y a certaines personnes du Pds que j’appelle, moi, les bastions démocratiques. Vous savez, ce que beaucoup de gens n’ont pas compris, c’est que, y compris pendant le second tour, il y avait des bastions démocratiques au sein du Pds qui, par cohérence, sont allés avec Wade et qui sont retournés au second tour pour aller avec le Président Macky Sall parce que, justement, pour eux, le premier tour, c’était une sorte de primaire. Ce sont des gens qui s’étaient engagés de façon tout à fait militante, par conviction, mais qui ont basculé dans le camp du changement. Et je pense qu’on n’en a pas suffisamment parlé. Si ces forces vives sont aujourd’hui dans la disposition de travailler au renforcement de la dynamique victorieuse du 25 mars, au nom de quoi le Président Macky Sall ne leur dirait pas de venir ?
Donc vous encouragez la transhumance ?
Cela n’a rien à voir avec la transhumance. Je pense que les bastions démocratiques qui étaient au Pds, qui sont composés de forces vives, qui ne sont pas mêlés à des scandales politico-financiers, qui acceptent le projet que le Président Macky Sall a proposé aux Sénégalais, sont forcément les bienvenues.
Vous pensez à qui exactement ? Peut-on avoir des noms ?
Non ! Ce n’est pas une question de noms. Bon c’est vrai que vous, les journalistes, vous aimez le sensationnel (rires) mais ce n’est pas une question de noms. C’est une question de courant, de sensibilité, de vision, une question de perspective politique. Les bastions démocratiques peuvent être définis comme des mouvements vastes au sein d’un parti ou d’un camp, qui s’inscrivent dans une perspective démocratique et qui, par conséquent, peuvent être considérés comme des alliés stratégiques dans une séquence bien déterminée de l’histoire. Et aujourd’hui, il y a des bastions démocratiques à l’intérieur du Pds et je pense qu’ils devraient se mobiliser avec les forces victorieuses du 25 mars. Ce serait tout bénef pour notre pays.
( Le quotidien)