Ce programme de 100 milliards de francs est destiné à ''apporter des réponses durables à la problématique de l’emploi. Il s’agissait de s’appuyer sur les secteurs à haut potentiel d’absorption de main d’œuvre. Notre première réflexion s’est tournée vers l’agriculture’’, a soutenu M. Sambou qui était l’invité du Conseil économique, social et environnemental (CESE).
Lors du débat général de cette première session extraordinaire, les membres du CESE sont essentiellement revenus sur la nécessité de développer le secteur agricole qui est pourvoyeur d’emplois.
Selon M. Sambou, pour ce programme, la Banque islamique de développement (BID) ''est prête à nous accompagner déjà en mettant sur la table 60 milliards’’. ‘’C’est un programme structurant qui permettra aux jeunes de s’insérer dans le secteur mais surtout d’y demeurer’’, a-t-il assuré.
‘’Les fermes agricoles ne sont pas allées loin, parce que les jeunes n’étaient pas motivés alors que tout le monde est d’accord que le secteur de l’agriculture doit être pourvoyeur d’emplois’’, a affirmé le ministre de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Promotion des valeurs civiques.
‘’Le programme des domaines agricoles communautaires n’est pas seulement un programme de production agricole mais aussi de développement des métiers de l’agriculture. C’est un programme de création de richesses en milieu rural’’, a-t-il fait savoir.
M. Sambou a expliqué qu’‘’au delà de la production de ressources à haute valeur ajoutée, il s’agira, autour des zones de production, de créer des unités de transformation, créer les conditions pour des unités de fabrication de matériel agricole’’.
‘’Il s’agira aussi de mettre en place des unités de prestation de services, parce que même si on a une maîtrise en droit, on doit pouvoir évoluer dans le secteur agricole en termes de conseil pour les entreprises qui vont y aller’’, a-t-il souligné.
‘’Nous ne sommes pas en train de créer ou de promouvoir des ouvriers agricoles mais de véritables entrepreneurs agricoles. C’est ça le défis des domaines agricoles et communautaires. Nous nous appuyons d’abord sur les jeunes qui habitent dans les zones identifiées’’, a précisé le ministre.
Il a indiqué qu’il y aura neuf domaines identifiés qui seront accompagnés de jeunes qui ont appris leur métier dans les écoles de formation et les écoles d’agriculture. ''Pour fixer ces jeunes, il faudra mettre à leur disposition des équipements sociaux pour qu’ils retrouvent un cadre normé où ils peuvent d’épanouir’’, a-t-il encore dit.
Au-delà de ce programme, le ministre a cité d’autres secteurs comme l’artisanat et les TIC qui sont à ''fort potentiel d’absorption de main d’œuvre et de croissance qui permettent d’avoir une contribution positive pour régler de manière globale la question de développement''.
APS
Lors du débat général de cette première session extraordinaire, les membres du CESE sont essentiellement revenus sur la nécessité de développer le secteur agricole qui est pourvoyeur d’emplois.
Selon M. Sambou, pour ce programme, la Banque islamique de développement (BID) ''est prête à nous accompagner déjà en mettant sur la table 60 milliards’’. ‘’C’est un programme structurant qui permettra aux jeunes de s’insérer dans le secteur mais surtout d’y demeurer’’, a-t-il assuré.
‘’Les fermes agricoles ne sont pas allées loin, parce que les jeunes n’étaient pas motivés alors que tout le monde est d’accord que le secteur de l’agriculture doit être pourvoyeur d’emplois’’, a affirmé le ministre de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Promotion des valeurs civiques.
‘’Le programme des domaines agricoles communautaires n’est pas seulement un programme de production agricole mais aussi de développement des métiers de l’agriculture. C’est un programme de création de richesses en milieu rural’’, a-t-il fait savoir.
M. Sambou a expliqué qu’‘’au delà de la production de ressources à haute valeur ajoutée, il s’agira, autour des zones de production, de créer des unités de transformation, créer les conditions pour des unités de fabrication de matériel agricole’’.
‘’Il s’agira aussi de mettre en place des unités de prestation de services, parce que même si on a une maîtrise en droit, on doit pouvoir évoluer dans le secteur agricole en termes de conseil pour les entreprises qui vont y aller’’, a-t-il souligné.
‘’Nous ne sommes pas en train de créer ou de promouvoir des ouvriers agricoles mais de véritables entrepreneurs agricoles. C’est ça le défis des domaines agricoles et communautaires. Nous nous appuyons d’abord sur les jeunes qui habitent dans les zones identifiées’’, a précisé le ministre.
Il a indiqué qu’il y aura neuf domaines identifiés qui seront accompagnés de jeunes qui ont appris leur métier dans les écoles de formation et les écoles d’agriculture. ''Pour fixer ces jeunes, il faudra mettre à leur disposition des équipements sociaux pour qu’ils retrouvent un cadre normé où ils peuvent d’épanouir’’, a-t-il encore dit.
Au-delà de ce programme, le ministre a cité d’autres secteurs comme l’artisanat et les TIC qui sont à ''fort potentiel d’absorption de main d’œuvre et de croissance qui permettent d’avoir une contribution positive pour régler de manière globale la question de développement''.
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