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En état d'ébriété, le ressortissant chinois endommage la maison et le véhicule d’autrui


Rédigé par leral.net le Vendredi 6 Mai 2016 à 22:03 | | 1 commentaire(s)|

En état d'ébriété, le ressortissant chinois endommage la maison et le véhicule d’autrui
Dae Kyu Kin est un ressortissant chinois. En rentrant chez lui à la descente du boulot, il a heurté une maison en plein centre ville. Les débris des briques ont finalement atterri sur le pare-brise du propriétaire de la maison stationnée à un pas des lieux de l’accident. Selon les éléments de l’enquête qui ont recueilli les déclarations des témoins, Dae Kyu Kin était en état d'ébriété avancé et
n’arrivait pas à maîtriser le volant de sa voiture qui a finalement fini sa course dans la maison de la partie civile. « Son haleine sentait de l’alcool » a rappelé le maître des poursuites.
Dans les circonstances aggravantes comme signalées par madame le procureur, le prévenu, bien qu’ayant commis son forfait, s’est attelé à appeler un de ses collègues de bureau qui est venu le prendre sur les lieux de l’accident. Faisant ainsi fi des services de constatations dépêchés sur les lieux à son insu.
Pour le parquet, le Chinois refusait de se faire tester à l’alcoolométrie. Mais, le prévenu balaiera d’un revers de mains toutes les charges à son encontre. Il soutiendra avoir pris vers midi un comprimé de Fervex de même que le soir avant de rentrer chez lui. Ce qui a entraîné de la somnolence à son niveau. De même, il indiquera s’être entendu avec les vigiles présents lors de l’accident pour revenir le lendemain procéder au constat d’usage.
La défense du Chinois maintient que les faits ne sont pas constants, d’autant que la partie civile n’a jamais daigné se présenter lors des différents appels du dossier. Pour les robes noires de la défense, le plaignant avait réclamé 3 millions 500 mille à leur client qui avait refusé. Mais, lorsqu’il a été arrêté, ses parents se sont vite concertés pour débourser la dite somme.
Les conseils de la défense soutiennent pour leur part qu’il n’existe pas de mentions de la police scientifique mettant en cause leur client. D’où leur demande de relaxe ainsi que la restitution de la carte grise du véhicule confisquée depuis lors. L’affaire est mise en, délibéré pour le 10 mai prochain.