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Enora Malagré seins nus : furieuse après Voici

Rédigé par leral.net le Mardi 30 Décembre 2014 à 18:30 | | 0 commentaire(s)|

Enora Malagré a décidé de déclarer la guerre au magazine Voici, après la publication de photos topless de la chroniqueuse de Touche pas à mon poste. Enora Malagré a signifié son dégoût et révélé qu’elle poursuivrait en justice le magazine dans son émission sur Virgin Radio.


Enora Malagré est furieuse, et elle l’a fait savoir dans son émission sur Virgin Radio. La chroniqueuse n’a pas du tout apprécié que le magazine Voici publie des photos d’elle topless sur la plage dans son dernier numéro. « Il y a eu des photos de moi, qui ont effectivement circulé sur une plage, avec des potes. Ce n'est pas du tout ce qui est marqué dans ce torchon qu'est Voici. Excusez-moi, le terme est un peu violent, mais je suis vraiment en colère. Ce n'est pas du tout organisé, évidemment, il y a des abrutis qui ont dit "elle l'a fait exprès" ». En colère, Enora Malagré prépare sa revanche. Elle a décidé de poursuivre le magazine en justice : « Je ne peux malheureusement pas trop en parler, parce que je suis en train de lancer une très grosse procédure judiciaire. Et je peux vous dire que n'importe qui, qui va reprendre ces photos, sera attaqué. »

 
 

« JE FAIS CE QUE JE VEUX »

Enora Malagré a très mal vécu la publication de ces photos : « Je ne vais pas me laisser faire. Je trouve que c'est extrêmement grave. Je fais exactement ce que je veux pendant les vacances. Je fais du topless comme 50 % des femmes en France », assure-t-elle. La chroniqueuse de TPMP ajoute : « C'est d'une violence, mais d'une violence... Vous n'imaginez même pas ce que j'ai ressenti. J'étais en larmes. D'ailleurs, ça commence à remonter. J'ai fondu en larmes et j'ai trouvé ça d'une violence... » Elle a eu une pensée pour Jennifer Lawrence, qui a vu certaines de ses photos nues piratées et mises en ligne sur le web : « On fait tous du topless dans la famille. Ce n'est pas le fait de faire ça, c'est le fait juste de voir sa fille comme ça... C'est une violation de soi. Donc je n'imagine même pas la pauvre Jennifer Lawrence ! »

Par Simon Bardet