De cette étude, il ressort que le Sénégal dispose d’institutions performantes et figure parmi les pays les plus stables d’Afrique. Comparé à certains pays du continent africain, tels que la Guinée ou le Mozambique, le Sénégal a longtemps été considéré comme un pays pauvre en ressources naturelles. Selon le document, cela découle de «l’omission des phosphates et du calcaire qui ont constitué d’importantes ressources minières pour le pays dès les années 80». Aussi, le document d’indiquer que ces deux ressources sont, aujourd’hui encore, importantes dans le paysage minier sénégalais.
Le Sénégal au 15e rang mondial des producteurs de phosphates
Toutefois, l’étude a fait ressortir que le Sénégal se situait à la 15e place dans le classement mondial des producteurs de phosphates en 2012. S’agissant de la valorisation de la filière, le document informe que «les phosphates sont en partie transformés au Sénégal en acide phosphorique et en engrais solides pour être exportés. La quasi-totalité de la production d’acide phosphorique est, en effet exportée, principalement vers l’Inde. Les engrais sont vendus sur le marché local, environ pour moitié, tandis que le reste est exporté vers les pays limitrophes».
Le Sénégal 13e producteur d’or sur 50 pays en Afrique
En clair, 30% des phosphates marchands sont exportés sans être transformés. D’après le document, «le Sénégal, qui a commencé à exploiter son or en 2009, figure aussi aujourd’hui parmi les principaux pays producteurs d’or en Afrique de l’Ouest, occupant actuellement la 13e place des producteurs d’or sur 50 pays africains. Environ une trentaine de sociétés sont présentes dans la filière aurifère au Sénégal. L’unique mine à ciel ouvert de grande envergure est exploitée par le groupe canadien Téranga Gold. Ses ressources estimées sont d’environ 3 millions d’onces, selon l’étude.
Toujours d’après le document, la concurrence dans la filière aurifère est manifestée et se joue dans le cadre de la recherche et l’acquisition de terrains miniers. De même, ces développements ont, aujourd’hui, hissé le métal précieux au rang de première source minière de revenus à l’exportation du Sénégal. En 2013, le document de noter que 9 tonnes d’or à l’état brut ont été exportées et la quasi-totalité de la production, soit une progression de 12%, par rapport à 2012.
La Sococim 1ère cimenterie d’Afrique de l’Ouest
Quant à la Sococim, elle est la première cimenterie d'Afrique de l'Ouest, avec une capacité de production de 3,5 millions de tonnes par an. En activité depuis 2002, la société Ciments du Sahel a une capacité de production de 3 millions de tonnes de ciment par an. Tandis que pour Dangote Ciment, les capacités de production devraient augmenter de 50% par an, devant se traduire par une intensification de la concurrence. Egalement, l’étude de faire savoir que «le ciment produit à base de calcaire est en grande partie exportée. Les exportations ont cependant enregistré une baisse en volume de près de 25% en 2013, après avoir continuellement progressé jusqu’en 2012.
Concernant la production annuelle de la mine de zircon de Diogo, elle est estimée à 85 000 tonnes de zircon et 575 000 tonnes d’ilménite sur une durée d’au moins 20 ans. La mine devrait couvrir 7% de la production mondiale de zircon. «Les premiers traitements ont notamment permis de produire environ 11 000 tonnes d’ilménite et d’exporter 30 000 tonnes de produits transformés. «Les études réalisées sur la mine de Falémé montrent que la capacité d’extraction annuelle est comprise entre 12 et 15 millions de tonnes de minerai», a révélé l’étude.
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Le Sénégal au 15e rang mondial des producteurs de phosphates
Toutefois, l’étude a fait ressortir que le Sénégal se situait à la 15e place dans le classement mondial des producteurs de phosphates en 2012. S’agissant de la valorisation de la filière, le document informe que «les phosphates sont en partie transformés au Sénégal en acide phosphorique et en engrais solides pour être exportés. La quasi-totalité de la production d’acide phosphorique est, en effet exportée, principalement vers l’Inde. Les engrais sont vendus sur le marché local, environ pour moitié, tandis que le reste est exporté vers les pays limitrophes».
Le Sénégal 13e producteur d’or sur 50 pays en Afrique
En clair, 30% des phosphates marchands sont exportés sans être transformés. D’après le document, «le Sénégal, qui a commencé à exploiter son or en 2009, figure aussi aujourd’hui parmi les principaux pays producteurs d’or en Afrique de l’Ouest, occupant actuellement la 13e place des producteurs d’or sur 50 pays africains. Environ une trentaine de sociétés sont présentes dans la filière aurifère au Sénégal. L’unique mine à ciel ouvert de grande envergure est exploitée par le groupe canadien Téranga Gold. Ses ressources estimées sont d’environ 3 millions d’onces, selon l’étude.
Toujours d’après le document, la concurrence dans la filière aurifère est manifestée et se joue dans le cadre de la recherche et l’acquisition de terrains miniers. De même, ces développements ont, aujourd’hui, hissé le métal précieux au rang de première source minière de revenus à l’exportation du Sénégal. En 2013, le document de noter que 9 tonnes d’or à l’état brut ont été exportées et la quasi-totalité de la production, soit une progression de 12%, par rapport à 2012.
La Sococim 1ère cimenterie d’Afrique de l’Ouest
Quant à la Sococim, elle est la première cimenterie d'Afrique de l'Ouest, avec une capacité de production de 3,5 millions de tonnes par an. En activité depuis 2002, la société Ciments du Sahel a une capacité de production de 3 millions de tonnes de ciment par an. Tandis que pour Dangote Ciment, les capacités de production devraient augmenter de 50% par an, devant se traduire par une intensification de la concurrence. Egalement, l’étude de faire savoir que «le ciment produit à base de calcaire est en grande partie exportée. Les exportations ont cependant enregistré une baisse en volume de près de 25% en 2013, après avoir continuellement progressé jusqu’en 2012.
Concernant la production annuelle de la mine de zircon de Diogo, elle est estimée à 85 000 tonnes de zircon et 575 000 tonnes d’ilménite sur une durée d’au moins 20 ans. La mine devrait couvrir 7% de la production mondiale de zircon. «Les premiers traitements ont notamment permis de produire environ 11 000 tonnes d’ilménite et d’exporter 30 000 tonnes de produits transformés. «Les études réalisées sur la mine de Falémé montrent que la capacité d’extraction annuelle est comprise entre 12 et 15 millions de tonnes de minerai», a révélé l’étude.
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