De leur meeting du 21 août 2015, les Libéraux et leurs alliés retiennent un "blocus de la Place de l'Obélisque" par les forces de l'ordre "lourdement chargées pour dissuader et qui ont systématiquement dévié tous les véhicules qui voulaient y accéder". C'est, selon le Fpdr, "la preuve par 9 que ce régime a peur de l'opposition". Ils ne s'expliquent pas qu'"un régime arrivé aux affaires sur une base démocratique soit aussi obsédé par son opposition au point de décider, sans aucune autre forme de procès, de lui interdire toute forme d'expression". Decroix et Cie d'en déduire dans Le Quotidien : "Le drame du Sénégal, aujourd'hui, est que le régime en place ne peut plus s'appuyer sur une force politique substantielle pour faire face à son opposition. Il est donc obligé d'utiliser la force publique pour régler des problèmes politiques. Cette situation est grosse de tous les dangers pour notre pays".
Le Fpdr, qui a pris part à la marche pour "la libération des détenus politiques", organisée par le Parti démocratique sénégalais, "finalement reportée suite à la disparition de Doudou Ndiaye Coumba Rose, a également dénoncé avec "véhémence, les attaques à la grenade subies par les leaders venus annoncer le report de la marche".
Le Fpdr, qui a pris part à la marche pour "la libération des détenus politiques", organisée par le Parti démocratique sénégalais, "finalement reportée suite à la disparition de Doudou Ndiaye Coumba Rose, a également dénoncé avec "véhémence, les attaques à la grenade subies par les leaders venus annoncer le report de la marche".