Un schéma qui a été retenu jusqu’à quelques petites minutes du démarrage de l’élection des membres du Bureau de la Chambre basse. A un certain moment, d’ailleurs, bien avant le début de l’élection, on a aperçu le président du Groupe parlementaire du Pds, Modou Diagne Fada, et Abdou Mbow parloter au sujet de la huitième vice-présidence. Mieux, à un moment donné, avant le démarrage du vote, le patron des Jeunesses de l’Alliance pour la République était au bout du fil avec le chef de l’Etat, pour lui rendre compte du choix porté sur la députée Aïda Mbodj.
Par la suite, coup de théâtre : le locataire du Palais a été obligé de revenir sur sa décision, et pour cause. Selon toujours nos interlocuteurs, tout a foiré lorsque le Parti démocratique sénégalais a, par le biais Modou Diagne Fada, informé la Présidence de la République, via Abdou Mbow, que c’est Aïda Mbodj, qui a été désignée pour être la huitième vice-présidente. Mieux, poursuivent nos mêmes sources, c’est à ce moment précis que Macky Sall a changé ses plans. Pour avoir, peut-être estimé qu’en filant la huitième vice-présidence à Aïda Mbodj, ce serait, politiquement, une manière d’humilier le député et responsable apériste de Bambey, Pape Mbodj, frère utérin de la mairesse de la Cité du même nom, qu’il ne veut pas, alors pas du tout, voir et ce, même en peinture.
Omar Sarr armé pour venger les siens, à la dernière minute
Alors, quand Macky Sall a opéré un virage à 180°, le Pds, touché dans son égo, a décidé d’armer son coordonnateur général, Omar Sarr, pour
présenter sa candidature à l’élection du président de la Chambre basse. Et, même s’ils savaient d’avance que leur chef de file n’avait aucune chance de sortir victorieux de son duel avec Moustapha Niasse, les libéraux avaient voulu apporter une réponse politique à l’apprentissage de la déception qu’ils venaient de faire avec le successeur de Me Abdoulaye Wade au Palais. N’eut été la volteface effectuée par Macky Sall, confie-t-on, le Pds n’aurait jamais postulé pour la Présidence. Alors, est-ce donc pour se venger que les libéraux, via Aïda Mbodj, ont décidé de jeter du sable dans le couscous de l’élection des secrétaires élus, qui n’a pas respecté le principe de la parité ? Allez savoir…
Actusen.com
Par la suite, coup de théâtre : le locataire du Palais a été obligé de revenir sur sa décision, et pour cause. Selon toujours nos interlocuteurs, tout a foiré lorsque le Parti démocratique sénégalais a, par le biais Modou Diagne Fada, informé la Présidence de la République, via Abdou Mbow, que c’est Aïda Mbodj, qui a été désignée pour être la huitième vice-présidente. Mieux, poursuivent nos mêmes sources, c’est à ce moment précis que Macky Sall a changé ses plans. Pour avoir, peut-être estimé qu’en filant la huitième vice-présidence à Aïda Mbodj, ce serait, politiquement, une manière d’humilier le député et responsable apériste de Bambey, Pape Mbodj, frère utérin de la mairesse de la Cité du même nom, qu’il ne veut pas, alors pas du tout, voir et ce, même en peinture.
Omar Sarr armé pour venger les siens, à la dernière minute
Alors, quand Macky Sall a opéré un virage à 180°, le Pds, touché dans son égo, a décidé d’armer son coordonnateur général, Omar Sarr, pour
présenter sa candidature à l’élection du président de la Chambre basse. Et, même s’ils savaient d’avance que leur chef de file n’avait aucune chance de sortir victorieux de son duel avec Moustapha Niasse, les libéraux avaient voulu apporter une réponse politique à l’apprentissage de la déception qu’ils venaient de faire avec le successeur de Me Abdoulaye Wade au Palais. N’eut été la volteface effectuée par Macky Sall, confie-t-on, le Pds n’aurait jamais postulé pour la Présidence. Alors, est-ce donc pour se venger que les libéraux, via Aïda Mbodj, ont décidé de jeter du sable dans le couscous de l’élection des secrétaires élus, qui n’a pas respecté le principe de la parité ? Allez savoir…
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