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Exclusivité : La Maybach de Samuel Sarr a été vendue à Me Wade par Ahmed Khalifa Niasse


Rédigé par leral.net le Jeudi 10 Janvier 2013 à 18:56 | | 10 commentaire(s)|

Exclusivité : La Maybach de Samuel Sarr a été vendue à Me Wade par Ahmed Khalifa Niasse
Les informations en possession de Leral, lui font dire que la voiture de marque Maybach de Samuel Sarr lui a été offerte par Me Wade lui-même, après l’avoir acheté avec Ahmed Khalifa Niasse. Aussi, Leral est à mesure d’écrire que cette voiture est restée dès lors stationnée dans le garage de l’ancien ministre, pour preuve elle affiche que 54 kilomètres à son compteur.



1.Posté par booy town le 10/01/2013 19:49 | Alerter
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Associations de malfaiteurs, vous allez tous payer!

2.Posté par diouf le 10/01/2013 20:39 | Alerter
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bla bla bla oui ok mais c'est un moyen de blanchir quel qu'il soit le vendeur!

3.Posté par LOL le 10/01/2013 20:41 | Alerter
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Au nom de quoi un président se permet d'offrir une voiture aussi chère à un ministre alors que des sénégalais ont tous les problèmes du monde pour se soigner. Rien ne justifie une telle forfaiture. Akhou nitt gni mooleen dall.

BIEN MAL ACQUIS NE PROFITE JAMAIS!

4.Posté par Ngor le 10/01/2013 20:53 | Alerter
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Dans certains milieux, il se dit que les véhicules supposés vendus par le duo Khalifa Niasse/Samuel Sarr , c'est une opération fraude-détournement-blanchiment. Car les véhicules sont une contribution de l'Arabie Saoudite dans le cadre de l'OCI, mais ils ont fait un montage avec le PR pour chercher des factures et déclarer que c'est une vente. En fait c'est comme le Monument de la Renaissance avec les Coréens. Avec la complicité des financiers, les milliards sont virés dans des comptes puis blanchis.
Damaa Degg Rek nak ! Woorouma.
Vérifiez si vous voulez !

5.Posté par adja le 10/01/2013 21:17 | Alerter
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LOL wakhal way

6.Posté par NOUVEAU SITE TRES ENRICHISSANT le 10/01/2013 21:21 | Alerter
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7.Posté par lam le 10/01/2013 23:03 | Alerter
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Bonjour
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8.Posté par lu pour vous le 10/01/2013 23:11 | Alerter
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Ici repose la défunte presse privée sénégalaise [Décès survenu le 25 Mars 2012] ( Modou Badiane)
On a coutume de dire que dans une démocratie digne de son nom, la presse représente le quatrième pouvoir après l’exécutif, le législatif et le judiciaire. Que deviendrait un tel système si le quatrième pouvoir, qui doit normalement équilibrer les trois autres, puisque plus indépendant, s’amène à jouer les baroudeurs ou pire les laudateurs ? Il faut qu’on le dise. La presse privée sénégalaise après la télévision nationale de Rien Tous les Soirs, est entrain de perdre de sa crédibilité et de son indépendance. Le dernier événement qui en atteste est la tentative d’immolation de Cheikh Mbaye le Lundi 07 Janvier 2013, devant les grilles du palais, que la presse, dans sa quasi-totalité, a traitée de façon parcellaire. Là où elle décrivait ces actes sous le régime Wade de désillusion d’une jeunesse laissée à elle-même, la même presse, les mêmes journalistes, essaient de justifier l’acte par une présumée folie de l’auteur. Le Mardi 08 Janvier 2013 soit moins de 24 H après l’incident, sa famille dément les rumeurs de la presse selon lesquelles, la victime souffrirait de troubles mentaux "Cheikh Mbaye jouit de toutes ses facultés mentales. Il développait même beaucoup de projets... ». Pourquoi ces glissades à répétition de la presse ? Les auteurs d’immolations sous Wade étaient ils plus sains d’esprits que le premier sous l’ère Macky ? La désillusion est elle moins présente sous Macky que sous son prédécesseur ? La question mérite d’être posée avec beaucoup de recul et sans subjectivité aucune. Cette manière de faire des journalistes, et pas des moins connus, ne rend ni service au régime actuel ni au peuple sénégalais. C’est une bombe que la presse a entre ses mains et qui risque d’exploser au moment où on s’y entendra le moins.
Madiambal Diagne dans sa chronique du Lundi 07 Janvier 2013 titrée « Inculpez Wade ou libérez Aïdara Sylla ! » a rappelé le rôle jouait par la presse dans la chute du régime de Wade. « Dix ans durant, nous nous sommes tués, à travers ces colonnes, à publier les hauts faits (de Wade) de prédation de ressources publiques » disait-il. La presse a telle perdu son verbe et son rôle de sentinelle dans une démocratie en marche avec l’élection de Macky Sall comme Président de la République du Sénégal ? Sommes-nous entrain d’assister à un gouvernement de journalistes après celui des avocats ? Les journalistes sont ils devenus complaisants face à leurs homologues qui composent l’entourage proche du Président ?

Vous avez été sans doute surpris de voir lors de son émission, ça me dit Mag, avec le Professeur Gadiaga du 15 décembre 2012, l’ex percutant Pape Allé Niang, déclarer après une analyse du juriste, « (…) j’attends de voir celui qui viendra ici me parler de la Haute Cour de Justice comme étant seule habilitée à juger les ex barons du gouvernement de Wade ». Le professeur venait de faire une brillante dichotomie entre les fautes qu’auraient commises un Ministre dans l’exercice de ses fonctions et durant l’exercice de ses fonctions. Cette satisfaction montrée du journaliste prouve deux choses. Il est prêt à défendre la position actuelle du gouvernement et ne laissera pas l’autre camp défendre son point de vu puisqu’il le juge déjà comme erroné. Est-ce cela le rôle du journaliste qui doit participer à l’éclosion de la vérité et à l’équilibre de l’information ?

Que dire de Mamadou Oumar Ndiaye qui ne semble pas être tout à fait d’accord avec le discours de Macky Sall lors du nouvel an, mais préfère le critiquer en utilisant la pédale douce. Il titre dans sa chronique parue dans le journal Le Témoin n°1109 « Discours de fin d’année du président Macky Sall: Oublis et omissions d’un (bon) discours». Cherche t il avec ce titre à caresser Macky dans le sens de la poile ou évite t il de s’amener les foudres de ses compères qui ont pris fait et cause pour le régime actuel ? Dans le fond, il souligne « Sur le fond, en revanche, il est sans doute notable que les spins doctors du Président n’ont pas accordé une très grande attention au contenu de son discours du nouvel an ». Il critique tout en qualifiant les rédacteurs de « spins doctors ». Content sans doute, de ses compères, malgré les oublis listés et le fond vide.

Que devient Souleymane Jules Diop, après nous avoir servi, pendant des années, qu’il ne défendait que des principes. N’est il pas devenu un membre à part entière de l’APR qu’il cherche à défendre vaille que vaille ?

Nous ne demandons pas à la presse d’être des ultra opposants comme le groupe Walfadjri, mais à jouer le rôle d’avant-gardiste qu’on lui connaissait, de faire comme le Groupe D-Media qui est le seul, à l’heure actuelle, à nous informer juste et vrai. Même les journalistes du Groupe Futur Medias que nous avons toujours connu pour leur professionnalisme s’adonnent à ces pratiques en cherchant à faire plaisir à leur patron devenu Ministre dans le gouvernement de Macky. Allassane Samba Diop est devenu méconnaissable et Mamadou Ibra Kane aphone.

Nous ne sommes pas contre le gouvernement, mais réclamons notre droit à l’information. La vraie information. Le peuple n’a pas besoin de mirage pour subsister. Face au faux il arrivera un moment où lui-même s’en détournera et réclamera ce qu’on a tenté de lui cacher. Le journaliste doit alerter et non applaudir. L’acclamation continue est du rôle du partisan et non du journaliste libre et indépendant. Nous avons besoin que l’on nous dise que le train n’est pas arrivé à l’heure. Celui qui arrive à temps ne constitue pas une information. Gilbert Keith Chesterton décrivait avec ironie le rôle du vrai journaliste en ces termes « Le journalisme consiste pour une large part à dire “Lord Jones est mort” à des gens qui n’ont jamais su que Lord Jones existait. »


Alors chers journalistes, reprenez vous et ressuscitez la presse décédée le 25 Mars 2012 pour que triomphe la démocratie sénégalaise !


Modou Badiane
Sociologue
badianemodou6@gmail.com

9.Posté par thiedo le 10/01/2013 23:29 | Alerter
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LETTRE A L'AMBASSADEUR DE FRANCE AU SENEGAL
Mr Alboury Ndao
Parcelles Assainies
U 14 N*51
Dakar Le 19 Octobre 2010



A Monsieur l'Ambassadeur de France au Sénégal ,

Voie hiérarchique s/c Monsieur le Président de la République Française,

A Monsieur le Procureur de la République de Paris



Objet : Demande de témoignage et de réparation d'un lourd préjudice;

- Plainte contre la République-canaillère du Sénégal et sa Justice incompétente, malhonnête, corrompue et lâche.

- Dénonciation du rôle néfaste de la complicité et de la responsabilité de la France

- Déclaration d'une dissidence



"Certes, la vérité est une offense mais pas un péché!"

Cette lettre, venant d'un supposé "Sénégalais", va peut être vous étonner et même vous frustrer par son contenu qui met encore en exergue les lourdes erreurs d'une France dont le trouble passé d'impérialiste et de colonisateur reste et demeurera toujours néfaste pour les peuples qui l'ont subi , malgré le degré de toilettage et de mirages qui accompagnent ce fait accompli.
En effet, venant d'un pays considéré jusqu'à présent comme le modèle le plus fini et le plus complet de la Falsification de l'Histoire des Peuples (FHP) tant la négativ'action des valeurs sûres par leur écrasement au bas de l'échelle sociale, l'Inversion des Rôles et la perversion des mœurs et coutumes y sont très réussies, cette lettre dérangera certainement à défaut de passionner par la vérité incontestable de son contenu. Je pèse bien mes mots.

En fait, c'est le Dissident du Djoloff et de la Casamance qui se définit par rapport à une république-canaillère qui n'existe que dans l'inconscience de ses peuplades, dominée et façonnée par la Falsification de l'Histoire des Peuples qui veut que les vraies valeurs sûres de ce pays soient brimées, humiliées voire écrasées au bas de l'échelle sociale pour la pérennisation d'une sale photocopie délavée de république.

En effet, c'est le petit-fils de la Couronne du Djoloff né en Casamance, revendiquant mon droit du sang dans le Djoloff et mon droit du sol dans la Casamance, donc le parfait prototype du Sénégalais comme le voudrait l'hypocrisie de la République-bananière, qui a été dénué de ses droits les plus élémentaires pendant plus de treize (13) ans, et qui fait son volte-face pour dénoncer l'incompétence et la nullité de la pourriture dirigeante du Sénégal que vous avez installée depuis 115ans par le jeu subtile du Banditisme Intellectuel International (BII), idéologie de base et primum movens de la FHP, et dont les bénéficiaires viennent de fêter le cinquantenaire de l'indépendance (sic!). Cinquantenaire de l'Arnaque des Consciences populaires, de mauvaise régence et d'inversion des rôles, bref cinquantenaire d'errance des peuples qui n'ont pas encore vu le bout du tunnel, après soixante-cinq (65) ans d'assujettissement dans le manque total du respect de la différence, des valeurs et des mœurs.

Dans ces conditions, comment voulez-vous que l'Africain (l'Homme Noir, quelques soient son origine ou sa résidence) entre dans l'Histoire, si à sa tête, on place un Africon choisi pour son profil de collaborateur pour la pérennisation du Mythe de l'Africain: grand enfant, incapable majeur à l'esprit rudimentaire, au comportement gauche et veule, peu mature pour une démocratie.
De là est né un suivisme aveugle par de mauvais copistes qui, à force de reprendre une photocopie, l'ont délavée et très gravement salie. Car si au départ, la photocopie de république (qui signait la république-bananière) qui nous était proposée, sous l'égide d'une bande de douze (12) Crazy Baldheads pour arnaquer la conscience des peuplades, était bigarrée et on y retrouvait toutes les sensibilités, toutes les ethnies et toutes les castes, les mauvais copistes de ces cinquante (50) dernières années l'ont tout simplement transformée en une république-canaillère: véritable repaire de canailles, de petites frappes et de tapettes avec la complicité d'une France marionnettiste. Pourtant la vraie compétence était ailleurs et sans équivoque.

Ainsi, le scénario du "macaque qui singe le chimpanzé" était bien en route avec en filigrane la mise en place d'un "système con aux mains de cons individus pour connardiser le peuple" sans défense et sans repère face à l'ouragan de mensonges qui accompagnait la Falsification de l'Histoire des Peuples. Il faut dire que dès l'avènement de la république-banania, un programme insidieux et sournois de discrimination sociale fondée sur la Roture et la Caste s'est développée tous azimuts et sa réalisation complète de nos jours explique les actes de Sournoise Vengeance sur l'Histoire (SVH) qui se déroulent dans ce pays depuis une vingtaine d'années. Les "Sénégalais" n'ont qu'à se regarder de face pour voir qui est qui, et qui fait quoi; l'on comprendrait alors l'ampleur du désastre insidieusement et sournoisement installé dans ce pays qui aboutira lentement mais sûrement au catastrophisme évolutif et à la sinistrose...

Pendant combien de temps encore les consciences seront-elles taraudées? Après cinquante (50) ans de république à vocation clanique, à quand la vraie première république définie et déterminée par les peuples de la jonction forcée Djoloff cocufié + Casamance achetée? Voilà deux (2) questions auxquelles la France devra répondre. Je ne vous ferez pas l'affront de continuer l'explication du sabotage de ma patrie d'emprunt que vous maitrisez bien, et mieux que moi mais ce qui suit va démontrer combien les dérives sont nombreuses et variées, et que la Sournoise Vengeance sur l'Histoire est une réalité dans ce pays. Et à ce titre la France est témoin et responsable. Loin de moi toute idée d'offenser la France mais une introspection se doit sur les possibles dérives des erreurs du passé.

Et c'est le Noble Tiédo du Djoloff, imbu de ses sept (7) valeurs cardinales que sont: le sens de l'honneur, la dignité, l'honorabilité, le pragmatisme, la rigueur, le patriotisme indéfectible et l'abnégation totale face à une juste cause, qui le demande car convaincu qu'on a menti à ses ancêtres, trompé ses grands-parents, on s'est joué de ses pères et on prend sa génération pour des cons. Pire, la révolte va plus loin avec le sentiment que les Institutions de sa patrie sont suspendues depuis 1895 avec la Déportation du Bourba Samba Laobé Ndiaye et le vide amnésique dont il est toujours l'objet.
Sacrée France! Ou le fossé qui existe entre légitimité et légalité, qui ne sera jamais comblé.

Pourtant son successeur par qui tout est passé, choisi et mis en place puisque "plus favorable à votre politique impérialiste sur cette région d'Afrique", n'a pas connu un meilleur sort, relégué aussi dans les profondeurs abyssales de l'oubli.. Celui-là même qui repose en paix dans sa terre ancestrale et précisément à Linguère dans l'indifférence totale des populations. Regrettable et indigne pour un peuple au grand passé que de se renier. Nul n'est infaillible. Le département de Linguère ou Principauté du Djoloff, bled pourri oublié de la république, devrait le commémorer avec plus de considération et de respect pour mieux comprendre et progresser pour un meilleur futur. Tous les peuples n'ont pas la chance d'avoir un caveau impérial sur leur propre sol!

Pour ce qui est de la république, mon avis est que tous les gouvernements de Roturiers et de Saltimbanques de ces cinquante (50) dernières années devraient à tout le moins et de façon officielle aller prier sur sa tombe en guise de remerciement, à défaut de lui manifester allégeance. Se doutait-il que cent (100) ans plus tard ses petits-fils seraient les anonymes d'une république à vocation discriminatoire dominée par des individus plus prompts et plus aptes à régler leurs problèmes de misérabilisme ancestral par l'abus de biens sociaux très mal acquis sur le dos des peuples que de régler les problèmes de ces mêmes peuples. Une véritable pantalonnade!

Ainsi, tout a été minutieusement bien préparé et avec l'avènement de la république-banania aux dés pipés d'avance par une sournoise ségrégation, c'était bien parti pour le départ à l'errance des peuples soumis que des Représentations Indigènes de l'Administration Coloniale (RIAC) mal choisies faisaient tourner en bourrique pour un meilleur "divide and rule"; usant pour cela de l'intimidation, la diversion et la distraction, avec tous les relents d'une douce dictature en perspectives. Aussi, les peuples hébétés étaient maintenus au stade alimentaire pendant que leurs brigands de dirigeants se sucraient à cœur joie sur leur dos, détournant sans vergogne leurs deniers publiques pour une notoriété empruntée et tuant plus par lâcheté que de raison. La sociologie du Sénégal de ces cinquante (50) dernières années peut se résumer en une triptyque machiavélique:

_ La phase Senghorienne avec sa politique du dialogue avec la carotte et le bâton: C'est à partir de ce moment qu'on a appris aux Sénégalais à se mentir entre eux, et aussi le début des frustrations car à cette époque le leitmotiv de la RIAC était sans équivoque: "Ne jamais nommer à un poste-clé quelqu'un dont on peut faire l'éloge des ancêtres", semant ainsi la zizanie, la suspicion et la méfiance parmi les valeurs sûres de la patrie qui, pourtant étaient de vrais républicains. Aussi disparaitront-elles de la république après juste le temps d'une vie active, soit 25 à 30 ans, et leurs enfants seront écrasés au bas de l'échelle sociale. Et l'école est passée par là. Car, si certains sont étouffés dans leur coquille, les uns sont découragés en cours de route juste après leurs premiers balbutiements, et les autres plus tenaces et plus coriaces ne seront acceptés qu'après maintes humiliations. C'est ainsi que là où on devait avoir un général preux et patriote, on en fait un psycholoco ou un socioloco ou un philodoff; là où on devait avoir un bon fabricant de djembés, on en fait un grand quelqu'un avec les honneurs et la distinction usurpés: et là où on devait avoir un sage pertinent, on a un hypocrite majeur et menteur invétéré.
Plus une négativ'action qu'une discrimination positive. Et cela dura vingt (20) ans.

_ La phase Diouffiène avec son maître slogan: "Ce que tu refuses, dix (10) de tes pairs l'accepteraient avec joie", en toute connaissance de cause car le sang ne ment pas.
Ce fut le début de coquinisation de la république-banania avec ses détournements massifs de deniers publics, ses crimes non résolus, l'emballement de la négativ'action et le haro sur la république-banania par de sinistres individus aux desseins bien dissimulés mais très clairs pour peu qu'on ait un tant soit peu d'entendement. L'on se rappelle des nombreux comités de soutien à l'action du Président Abdou Diouf (COSAPAD) et le début d'un multipartisme qui évoluera sans nul doute dans le mauvais sens, plus pour distraire et divertir le peuple que pour son véritable bien.
C'est pendant cette période que l'on assista au crime crapuleux politique, le plus odieux de tous les temps, pour lequel le plus vil mensonge d'état fut servi au peuple pour on ne sait quelle raison! Certainement la toute puissance des obédiences occultes qui foisonnent dans ce pays! Aussi, l'indemnisation de cette mort brutale,suivie de la loi Ezzan, ne devrait ni surprendre, encore moins entraîner la cacophonie corolaire. N'étaient-ils pas tous complices? État brigand, justice lâche et pourrie, et politiciens véreux sans éthique. Ainsi, c'était un évènement malheureux banal et personne n'était responsable! Ou l'encanaillement de la république-banania avec la complicité de la France, face à un peuple qui pourtant réclamait justice. Rien n'y fera. En lieu et place, une véritable comédie judiciaire lui avait été servie. La suite restera toujours cocasse. L'Arnaque de la Conscience et de la Mentalité des peuples fera le reste car le despotisme, la corruption et la gabegie croissants d'un système dictatorial excèderont plus tard un peuple surmanipulé aboutissant au départ prématuré (?) du Président Abdou Diouf, sous l'égide d'une France invisible qui le récompensera rapidement par la Présidence de la Francophonie.
Seulement, il n'y avait rien de démocratique dans la transition de l'an 2000, entre un homme qui avait tout à perdre en s'agrippant au pouvoir et un homme qui était prêt à mettre le pays à feu et à sang sous le prétexte d'un hypothétique tripatouillage électoral. Oh Peuple! Quand te réveilleras-tu? 20ans encore!

_ La phase Wadienne ou de l'Alternance à la transparence opaque qui, en fait est le peaufinement des deux systèmes précédents, royalement servie sur des plats en or massif après une douce transition (?)Pouvait-il en être autrement (?) sur fond de deal politikchien sur le dos des peuples surmanipulés et tenus dans l'ignorance totale. Le scrutin dit "universel", une des pires infamies qu'on ait transplantée en Afrique, y est passé. Toujours est-il que le nouveau Représentant Indigène de l'Administration Coloniale suscitait beaucoup d'engouement, d'espoirs et de rêves pour les peuples manipulés qui étaient très loin de se douter que le pire était à venir, entre gabegie, violences d'état tous azimuts, je-m'en-foutisme et ma-teï institutionnalisés, aggravation aigue de la négativ'action avec inversion accrue des rôles étendue à tout le territoire sénégalais, au vu et au su des populations divisées et snobées au nom de la république, avec intimidation à la clé. Où tout cela risque-t-il de nous mener? Qui vivra verra!
Le visionnaire et patriote Lamine Coura Gueye avait très tôt prévenu la nation devant la dangerosité du système discriminatoire mis en place dans ce pays dans le cadre d'un vaste Complot contre les Peuples, notamment contre les valeurs pures et sûres de ce pays. Que ce qu'il redoutait soit réalisé quarante (40) ans plus tard et que le système mis en place décide de le commémorer, relève plus d'un snobisme mal placé que du respect de la grandeur de cet éminent visionnaire plus que patriote.
En effet, s'il faut trois (3) anonymes, deux (2) apatrides, trois (3) synonymes, et deux (2) homonymes pour faire une république-bananière, il en faudrait beaucoup plus que ceux-là pour un vrai et réel patriotisme..
Loin de moi toute idée et/ou tout sentiment de racisme, de xénophobie, d'ethnophobie, de castophobie et/ou de toutes autres phobies complexes non encore définies mais le sentiment qu'on nous prend pour des cons après s'être joué de nos pères, avoir trompé nos grands-parents et menti à nos ancêtres a pris le dessus sur tout bémol qui aurait pu bénéficier aux différents systèmes-cons mis en place dans ce pays depuis cent-quinze (115) ans avec leur emballement frénétique de ces cinquante (50) dernières années qui a fini par transformer des terres des Hommes d'Honneur Intègres en une terre de basse abjection et de pourriture dominée par la corruption, la magouille, le clientélisme, le dilettantisme et le larbinisme, la lâcheté et l'Excellence de l'Incompétence, tous résultats de la discrimination sociale fondée sur la Roture et la Caste prônée dans ce pays par la négativ'action des valeurs sûres et l'inversion des rôles.

C'est ainsi qu'à dix-sept (17) ans, après l'arrivée au pouvoir du Président-héritier Abdou Diouf, je m'étais dit que c'est "l'homme qu'il nous fallait". J'ai dû déchanter un (1) an plus tard, en janvier 1982 après le premier anniversaire de son investiture pour des raisons personnelles: lui aussi avait un programme qui nous prenait pour des cons. Ce sont ces mêmes raisons personnelles qui m'ont habité en 1989 à vingt-six (26) ans. Car si, à vingt- cinq (25), j'étais manipulé comme tout bon Sénégalais à l'idée de changement "Sopi" de Me Abdoulaye Wade de 1988, je dus me résoudre à la conviction certaine que je n'avais fi à aucun de ceux qui s'entre-tuaient pour diriger la nation. Heureusement que je n'avais jamais milité dans un quelconque parti politique, et jusqu'à présent. Gloire à Dieu!

En effet, je n'ai ni exemple, ni modèle et encore moins de référence dans l'échiquier politique pourri de ce pays qui ne fait qu'emprunter ses idées et ses réflexions; c'est-à-dire rien d'originalité et de propre! Sinon appliquer les directives de connardisation du peuple. Pourtant le génialissime Me Abdoulaye Wade, de par son ingéniosité me fait beaucoup sourire pour peu que nous avons eu beaucoup de similitudes d'idées, notamment:

- sur la ceinture d'eau qui entoure le Sénégal (1993),-le référendum, non pas pour une nouvelle constitution, mais pour la république, quitte à en proclamer une deuxième (ou plutôt la vraie première) définie et déterminée par les peuples avec une constitution forte intouchable pendant au moins un quart (1/4) de siècle. Ce qui mettrait fin à la sale guerre en Casamance.

- la provincialisation, une parmi les nombreuses politiques qui peuvent sauver la république et permettre l'épanouissement des peuples par un mieux-être et une meilleure gestion des affaires et deniers publics.

- l'érection d'une deuxième capitale; à ce titre, beaucoup de propositions ont été énoncées, toutes aussi fausses et futiles que distractives et clownesques. La seule et vraie capitale d'un Sénégal digne et fier ne peut et ne doit être que dans la Principauté du Djoloff originel, même si la république créée par le Blanc et entretenue par ses différentes Représentations indigènes de l'Administration Coloniale en ont fait un bled pourri et oublié poussant même le dédain jusqu'à la maintenir au stade de simple département sans aucune infrastructure. Pour mieux la tuer. Pourtant, non seulement le département de Linguère est le centre du Sénégal mais mieux, il est seul à pouvoir bénéficier de pistes de production permettant à la fois l'accès rapide au Fouta, au walo, Ndiambour, Baol, Cadior, Sine-Saloum et au Boundou. Ce que la République par cynisme refuse de voir.Pourtant le devin et stratège Ndiadiane Ndiaye, provenant de la rive droite du fleuve Sénégal dans le Walo, sacré dans le Sine l'avais choisi comme Capitale. En effet sans carte de géographe ni boussole, il s'était établi dans ce lieu qui, en fait était le centre de ce qui sera son futur Empire, le Djoloff.

Ou les Représentants Indigènes de l'Administration Coloniale ne lui arrivaient pas à la cheville ou elles étaient à mille lieues des aspirations du bien-être des populations sublimées de respect aucun. ( Que Dieu bénisse tous les Empereurs et Rois du Djoloff et leurs descendances ! ). De véritables stiff necked fools qui n'ont même pas pu sauvegarder le Walo dans son intégralité, bradant plus de la moitié de son territoire. Il est vrai que pour tuer un arbre, on n'a pas besoin de l' abattre, il suffit tout simplement de lui couper les racines et le temps fera le reste. …


Alboury Ndao

10.Posté par FocusActu le 11/01/2013 00:23 | Alerter
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