’’Le bilan à mi-parcours de la FIDAK 2016 est positif’’, a dit M. Ndiaye, lors d’un entretien avec les journalistes couvrant cette rencontre commerciale internationale.
’’Bien qu’il y ait eu quelques regrets (…), c’est positif parce que tout ce qui revenait au CICES en termes d’organisation a été fait’’, a-t-il assuré.
Cheikh Ndiaye admet toutefois que ’’le seul point qui peut constituer un regret (…), c’est le manque d’affluence noté jusqu’à aujourd’hui’’.
Selon lui, la faible affluence est peut-être causée par le manque d’argent chez ceux qui voudraient visiter la FIDAK.
’’On a commencé le 24 novembre, après le Magal (pèlerinage de la confrérie des mourides, à Touba, dans le centre, Ndlr), qui a entraîné une dépression sur la FIDAK. Mais nous pensons pouvoir récupérer tout ça, à partir d’aujourd’hui’’, a expliqué M. Ndiaye, assurant que le CICES, l’organisateur principal de la FIDAK, ’’a bon espoir’’.
La faible affluence n’est pas causée par la cherté des stands d’exposition ou la hausse du ticket d’entrée à la foire, passé de 600 en 2016 à 700 francs CFA cette année, selon lui.
’’Lors des précédentes éditions, les débuts étaient calmes’’, a rappelé le directeur général du CICES, espérant que l’affluence sera forte dans les prochains jours.
APS
’’Bien qu’il y ait eu quelques regrets (…), c’est positif parce que tout ce qui revenait au CICES en termes d’organisation a été fait’’, a-t-il assuré.
Cheikh Ndiaye admet toutefois que ’’le seul point qui peut constituer un regret (…), c’est le manque d’affluence noté jusqu’à aujourd’hui’’.
Selon lui, la faible affluence est peut-être causée par le manque d’argent chez ceux qui voudraient visiter la FIDAK.
’’On a commencé le 24 novembre, après le Magal (pèlerinage de la confrérie des mourides, à Touba, dans le centre, Ndlr), qui a entraîné une dépression sur la FIDAK. Mais nous pensons pouvoir récupérer tout ça, à partir d’aujourd’hui’’, a expliqué M. Ndiaye, assurant que le CICES, l’organisateur principal de la FIDAK, ’’a bon espoir’’.
La faible affluence n’est pas causée par la cherté des stands d’exposition ou la hausse du ticket d’entrée à la foire, passé de 600 en 2016 à 700 francs CFA cette année, selon lui.
’’Lors des précédentes éditions, les débuts étaient calmes’’, a rappelé le directeur général du CICES, espérant que l’affluence sera forte dans les prochains jours.
APS
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