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Fable : Samuel Sarr, la barque folle du roi et le boa

Rédigé par leral.net le Mardi 26 Août 2014 à 09:54 | | 29 commentaire(s)|

Fable : Samuel Sarr, la barque folle du roi et le boa
Il était une fois, un roi sur sa barque juché, voguant à travers vents et marées.

Trônant sur son « mât qui » de bois mort, notre roi, naviguait par les mers agitées.
Son altesse élu pour garantir au peuple un but et une foi, était malheureusement sujet d’une incompétence à suffisance.

Tel que de mémoire citée, plus jamais que sous son manteau royal, l’intimidation, la répression aveugle et l’humiliation n’étaient érigées en mode de gouvernance.

Au point que la perversion, la diversion et la régression marquant le lot de ses innombrables carences congénitales, le poussèrent à battre rythme en décadence.

Nul n’objecte que sa majesté comble sa démesure et ses limites objectives dans les menaces, les jactances, et l’intolérance.

Imposant d’autorité ses incohérentes et impertinentes trouvailles pour endiguer l’austérité.

Intimidant, aliénant, enlaidissant tout sur son passage tel un grand boa au crépuscule d’une vie agitée.

Vous avez dis BOA comme ce très grand serpent que l'on rencontre à l'état sauvage uniquement sur le continent américain ? Honni donc soit qui pense BANK OF AMERICA.

D’où 7 milliards, notre roi y a caché depuis 2007 guettant qui en parlera.

Surgit l’imprudent Samuel SARR, qui s’occupa par un matin calme à dénoncer le gite en or et pierres précieuses de notre souverain cachotier.

Sam, tout miel, oisif dans un théâtre de tribunal parodiant contre une autre victime du roi, s’inspira d’une publication matinale du célèbre site xibaaru sur la caverne d’Ali Baba, avant de publier son chef d’œuvre à 12h pointées. Oh ! Offense suprême, il venait de perturber le déjeuner glouton du souverain rancunier.

Mal lui en pris, sa majesté en furie, rétif à la moindre remarque sur ses avoirs indus, le happa tel boa affamé pour outrage à sa magnificence et menaces de perturber la quiétude de la cour.

Que d’extravagances pour une simple contribution qui reflète le questionnement de tout un peuple médusé, hormis les troubadours.

Pourtant, de sa gouverne, des innocents devant l’éternel et devant les justes sont voués aux gémonies et jetés en pâture pour « soupçons d’enrichissement » lourd.

Le peuple dont le ventre crie famine, assurément trop occupé à trouver pitance marque le pas.

On lui interdit marches, gémissements et plaintes. Il reste docile même quand l’un de ses illustres enfants, par un projectile en pleine tête passe de vie à trépas.

En plus de louvoiements et d’atermoiements à mener la barque au « mat qui » de bois mort à bon port, son altesse insulte, injurie et jure de sévir sans leurre.

Fouet à la main, moulé treillis, droit dans ses bottes et casquette bien vissée, à l’image de la parade du tuyau français de Keur Momar SARR, avant Samuel SARR, il joue à faire peur ou à se faire peur ?

Fort de ses gendarmes dont l’honneur perdu empeste le vent.

Capitaine impudent, il ne s’aperçoit point de l’iceberg droit devant.

A bâbord comme à tribord, contre son incurie, nous ne ferons jamais figure de proue.

Qu’il sache donc, qu’aujourd’hui et chaque jour, jusqu’à sa mue, (qui parle du BOA ?) nous ferons face, dussé son impopularité légendaire altérer notre combat de toute prouesse.

Altesse ! NOUS SOMMES TOUS DES SAMUEL SARR...



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