"Le ministre Farba Senghor, qui se trouve actuellement en Turquie pour les besoins du Sommet Afrique-Turquie et la signature de l’accord aérien entre le Sénégal et la Turquie, tient à signaler qu’il n’est ni de près, ni de loin mêlé à la commission de ces actes", peut-on lire dans le communiqué.
Pour le chef de cabinet de Farba Senghor, "l’indice selon lequel les nervis seraient à bord d’une voiture immatriculée AD disculpe Monsieur Farba Senghor dans la mesure où il ne dispose d’aucune voiture 4X4".
Sur les menaces proférées la semaine dernière par voie de presse contre les journaux « l’AS », « 24 heures chrono », « Le Courrier » et « Pic », il s’en defend en avançant que "s’il a récemment fait état de son droit de légitime défense face à l’acharnement d’une certaine presse en mettant en garde contre le silence de l’opinion notamment des organisations professionnelles et de droits de l’home devat les dérives croissantes de certains journalistes, c’était juste pour prévenir des actes de cette nature et rappeler l’esprit de responsabilité qui doit guider chacun de nous..."
Farba Senghor confond dans les mêmes critiques le Synpics et l’Ondh qui "ont pris fait et cause pour les journaux victimes de ces actes alors que des agressions écrites a utrement plus affligeants récemment dirigées contre le Khalife général ds Mourides et, avant lui, contre les Khalifes généraux des Layènes et des tidianes... aucun rappel à l’ordre n’a été fait aux organes responsables de ces dérives".
Farba Senghor d’enfoncer le clou par la voix de son chef de cabinet : "la violence n’est l’apanage de personne et quand on récolte le vent, on doit s’attendre à récolter la tempête".
Le jeudi 14 août 2008, Farba Senghor avait signé un communiqué dans lequel il s’offusquait des attaques dont il serait victime. Il écrit qu’il "se réserve le droit de riposter à la hauteur de ces agressions".
A cet effet, il avait rappelé qu’il n’y "aucune différence entre la violence verbale, la violence écrite et la violence physique".
Pour le chef de cabinet de Farba Senghor, "l’indice selon lequel les nervis seraient à bord d’une voiture immatriculée AD disculpe Monsieur Farba Senghor dans la mesure où il ne dispose d’aucune voiture 4X4".
Sur les menaces proférées la semaine dernière par voie de presse contre les journaux « l’AS », « 24 heures chrono », « Le Courrier » et « Pic », il s’en defend en avançant que "s’il a récemment fait état de son droit de légitime défense face à l’acharnement d’une certaine presse en mettant en garde contre le silence de l’opinion notamment des organisations professionnelles et de droits de l’home devat les dérives croissantes de certains journalistes, c’était juste pour prévenir des actes de cette nature et rappeler l’esprit de responsabilité qui doit guider chacun de nous..."
Farba Senghor confond dans les mêmes critiques le Synpics et l’Ondh qui "ont pris fait et cause pour les journaux victimes de ces actes alors que des agressions écrites a utrement plus affligeants récemment dirigées contre le Khalife général ds Mourides et, avant lui, contre les Khalifes généraux des Layènes et des tidianes... aucun rappel à l’ordre n’a été fait aux organes responsables de ces dérives".
Farba Senghor d’enfoncer le clou par la voix de son chef de cabinet : "la violence n’est l’apanage de personne et quand on récolte le vent, on doit s’attendre à récolter la tempête".
Le jeudi 14 août 2008, Farba Senghor avait signé un communiqué dans lequel il s’offusquait des attaques dont il serait victime. Il écrit qu’il "se réserve le droit de riposter à la hauteur de ces agressions".
A cet effet, il avait rappelé qu’il n’y "aucune différence entre la violence verbale, la violence écrite et la violence physique".
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