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Sarah Louise Bryan du Royaume-Uni a un faible pour l'extravagance. Elle a déjà créé une robe en Skittles, un modèle certes original, mais pas autant que sa toute dernière création.L'esthéticienne de 28 ans a surpris et, par la même occasion, dégouté tout le monde lorsqu'elle a annoncé en quelle matière était faite sa robe. De plus, cette dernière a récemment fait un appel aux dons de sperme pour "utiliser la substance comme de la colle" pour une autre de ses créations. Ou la la.
Sarah ne dévoile pas le produit fini, mais si vous regardez de plus près sa dernière création en date, vous pouvez deviner ce qu'elle a en tête. Cette dernière est également faite d'une "matière" pas moins controversée.
La robe de Sarah est entièrement faite de poils pubiens. Elle a récolté toute cette "matière" en faisant un appel aux dons via Twitter. Elle dit s'être inspirée de la robe en viande de Lady Gaga, mais voulait surpasser la super star en créant une robe encore plus étrange. Elle déclare avoir pris conscience de l'étrangeté de ce concept seulement au moment de sa création. Elle a bien entendu porté des gants pour manipuler les poils, mais n'a pas pu empêcher les réflexes nauséeux. Elle a également dû se munir de lunettes de protection et d'un masque pour arriver à bout de son "chef d'oeuvre".
Elle a également pris soin de désinfecter tous les poils avant de les utiliser, étrange ne rime pas forcément avec gore. "Je voulais éviter de choper des morpions" déclare Sarah. La jeune fille raconte que ce travail n'a pas été de tout repos étant donné que les poils se coinçaient un peu partout. Mais avec beaucoup de patience et d'énormes quantités de colle, elle a pu achever son oeuvre en un mois.
Sarah a beaucoup d'ambition pour sa création. Elle vend sa robe en poils pubiens à hauteur de 10 000 pounds (soit 11 800 euros). Elle souhaite de tout coeur que Lady Gaga choisisse de porter sa robe, mais tout preneur est le bienvenue. Elle déclare que toute les réactions qu'elle a suscitées la poussent à vouloir continuer à créer des robes encore plus dégoutantes. Ses appels aux dons lancés sur Twitter montrent bel et bien que tout ceci n'est que le début de sa carrière de créatrice de mode.
Le monde fermé de la mode aurait tout intérêt à se préparer à cette nouvelle collection. Néanmoins, je ne suis pas sûre que ses créations finiront de si tôt dans les vitrines de H&M...
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