Même impuissants pour le moment, les parents d’élèves n’entendent pas baisser les bras. Les responsables du Groupe ont décidé d’internationaliser le combat s’ils n’obtiennent pas gain de cause. Car, pour eux, il n’est hors de question de laisser l’école entre les mains de la fondation de l'Etat turque, Maarif. D’autant plus que « l’Etat a torpillé le Droit ».
« C’est des textes de loi qui organisent l’Enseignement privé, les conditions d’ouverture et de contrôle. Quand vous combinez l’article 4 et l’article 7, vous verrez de manière très claire, que dès lors que vous faites une demande d’ouverture ou une demande de changement de déclarant responsable, vous pouvez entamer les enseignements », a détaillé l’avocat de la défense.
A l’en croire, le ministre de l’Education, Serigne Mbaye Thiam a tenu une « contrevérité ». L’avocat rapporte que ce dernier a dit que la demande de changement de déclarant responsable, a même été rejetée. « C’est inexact. La demande a été faite le 21 juin 2016 et l’inspection a demandé un complément de dossier parce qu’il y avait un document qui manquait. Et on l’a produit.
Une demande de complément de dossier, c’est différent d’un rejet. Donc, le ministre est dans la désinformation », a précisé Me Sarr. Les avocats de l’école étaient en conférence de presse ce lundi.
C’est dire que ce dossier est loin de connaître son épilogue. Affaire à suivre donc.
La rédaction de leral.net
« C’est des textes de loi qui organisent l’Enseignement privé, les conditions d’ouverture et de contrôle. Quand vous combinez l’article 4 et l’article 7, vous verrez de manière très claire, que dès lors que vous faites une demande d’ouverture ou une demande de changement de déclarant responsable, vous pouvez entamer les enseignements », a détaillé l’avocat de la défense.
A l’en croire, le ministre de l’Education, Serigne Mbaye Thiam a tenu une « contrevérité ». L’avocat rapporte que ce dernier a dit que la demande de changement de déclarant responsable, a même été rejetée. « C’est inexact. La demande a été faite le 21 juin 2016 et l’inspection a demandé un complément de dossier parce qu’il y avait un document qui manquait. Et on l’a produit.
Une demande de complément de dossier, c’est différent d’un rejet. Donc, le ministre est dans la désinformation », a précisé Me Sarr. Les avocats de l’école étaient en conférence de presse ce lundi.
C’est dire que ce dossier est loin de connaître son épilogue. Affaire à suivre donc.
La rédaction de leral.net