Le régime de Maky Sall vient de montrer son engagement à la résolution des nombreux problèmes de l’enseignement supérieur. Le Premier ministre a réceptionné le document contenant les propositions pour un meilleur avenir de notre enseignement supérieur. Il a salué le travail de l’équipe du Pr Souleymane Bachir Diagne, qui a réuni durant quatre jours tous les acteurs de l’enseignement supérieur pour identifier les problèmes et proposer des solutions au gouvernement. Informé sans doute des manifestions de protestations des étudiants de l’université Cheikh Anta Diop au même moment, Abdoul Mbaye a déclaré que les réflexions vont se poursuivre pour trouver « un consensus sur les frais d’inscriptions ».
Le Premier ministre a affiché son engagement quant à l’application des propositions du Comité de pilotage. Il a informé à cet effet la tenue prochaine d’un « Conseil présidentiel » pour la matérialisation des recommandations. Abdoul Mbaye qui avait à ses côtés le ministre de l’Enseignement supérieur, Mary Teuw Niane, a écarté la volonté prêtée à son gouvernement de « privatiser l’enseignement supérieur ». L’objectif de ses assises vise à donner un « meilleur avenir » à notre enseignement supérieur en lui permettant de former des étudiants au service du « développement et de la citoyenneté », a dit le Premier ministre. Le Comité a finalement maintenu l’université Cheikh Anta Diop en une seule entité, mais il a proposé la mise sur pied d’un comité « ad-hoc » devant réfléchir sur les solutions à apporter aux récurrents problèmes de l’institution. La création d’un « Conseil national de l’enseignement supérieur » pour veiller en permanence sur le bon déroulement des études dans le supérieur. Souleymane Bachir Diagne et Cie ont bien maintenu dans leurs recommandations, l’augmentation des frais d’inscriptions tout en proposant un accompagnement des « plus démunis ».
Le Premier ministre a affiché son engagement quant à l’application des propositions du Comité de pilotage. Il a informé à cet effet la tenue prochaine d’un « Conseil présidentiel » pour la matérialisation des recommandations. Abdoul Mbaye qui avait à ses côtés le ministre de l’Enseignement supérieur, Mary Teuw Niane, a écarté la volonté prêtée à son gouvernement de « privatiser l’enseignement supérieur ». L’objectif de ses assises vise à donner un « meilleur avenir » à notre enseignement supérieur en lui permettant de former des étudiants au service du « développement et de la citoyenneté », a dit le Premier ministre. Le Comité a finalement maintenu l’université Cheikh Anta Diop en une seule entité, mais il a proposé la mise sur pied d’un comité « ad-hoc » devant réfléchir sur les solutions à apporter aux récurrents problèmes de l’institution. La création d’un « Conseil national de l’enseignement supérieur » pour veiller en permanence sur le bon déroulement des études dans le supérieur. Souleymane Bachir Diagne et Cie ont bien maintenu dans leurs recommandations, l’augmentation des frais d’inscriptions tout en proposant un accompagnement des « plus démunis ».