Dans ces articles, Jean-Marc Gadoullet, négociateur dans ce dossier entre novembre 2010 et fin 2012, affirme plusieurs documents à l'appui, que le ravisseur Abou Zeid était prêt à libérer au moins un sinon les quatre otages dès avril 2012. Mais selon lui, cette libération aurait été entravée par le chef d'état-major particulier de Nicolas Sarkozy, le général Benoît Puga.
Finalement, les quatre otages seront libérés un an et demi plus tard, en octobre 2013. Thierry Dol demande donc la vérité au président Hollande et l'appelle à dénoncer ces allégations si elles sont fausses.
Pour Thierry Dol, les articles de l'Express, Challenges et Vanity Fair montrent qu'il y existe des zones d'ombres autour des négociations qui ont lieu au printemps 2012 pour leur libération. L'Express et Challenges exposent la version du négociateur Jean-Marc Gadoullet, qui dénonce l'obstruction présumée du général Puga. Vanity Fair fait témoigner Pierre-Antoine Lorenzi, le négociateur qui a repris la suite de Jean-Marc Gadoullet fin 2012 jusqu'à la libération des otages en octobre 2013.
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