« Cette demande de l’affaire Karim Wade comme préalable, ne nous agrée pas. C’est le point de vue de ceux qui sont avec Karim Wade et qui ont leur motivation et leur raison pour poser ce problème-là, en termes de préalable. Mais, ça n’engage que ceux qui sont dans cette dynamique-là. Ceux qui sont avec Khalifa Sall posent les conditions de sa libération. Donc, il faut différencier. Quand quelqu’un parle en son nom, il dit ce qui l’engage, ce qui l’intéresse, il dit sa perspective. C’est son droit le plus absolu », a-t-il dit, sur Rfm.
Il estime que tout doit être discuté. «Si on veut se mettre ensemble, on ne peut pas imposer aux autres, son propre point de vue. Là, on discute et c’est par consensus qu’on retiendra le contenu que nous allons apporter à la table des négociations, le format de ce dialogue et le sort des conclusions que nous voulons réserver à ce dialogue», suggère Madièye Mbodj.
Se voulant plus précis, M. Mbodj souligne : «les conditions, c’est d’abord créer la confiance. S’il n’y a pas de confiance, il n’y a pas de dialogue. En 1992, on a abouti à un code électoral consensuel parce qu’un cadre a été mis en place. Piloté par une personnalité que tout le monde estimait suffisamment neutre pour pouvoir bénéficier de la confiance de tous. Nous devons le remettre sur la table. Une fois que le cadre est en place, qu’on définisse. Tout doit être clair en termes de cadre de dialogue, de pilotage de ce cadre et du sort des conclusions issues de cette rencontre », a-t-il fait savoir.
Leral.net
Il estime que tout doit être discuté. «Si on veut se mettre ensemble, on ne peut pas imposer aux autres, son propre point de vue. Là, on discute et c’est par consensus qu’on retiendra le contenu que nous allons apporter à la table des négociations, le format de ce dialogue et le sort des conclusions que nous voulons réserver à ce dialogue», suggère Madièye Mbodj.
Se voulant plus précis, M. Mbodj souligne : «les conditions, c’est d’abord créer la confiance. S’il n’y a pas de confiance, il n’y a pas de dialogue. En 1992, on a abouti à un code électoral consensuel parce qu’un cadre a été mis en place. Piloté par une personnalité que tout le monde estimait suffisamment neutre pour pouvoir bénéficier de la confiance de tous. Nous devons le remettre sur la table. Une fois que le cadre est en place, qu’on définisse. Tout doit être clair en termes de cadre de dialogue, de pilotage de ce cadre et du sort des conclusions issues de cette rencontre », a-t-il fait savoir.
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